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Commentaire : "Après le retentissant succès du « Suicide français », Eric Zemmour pensait naïvement avoir gagné la bataille des idées. Très vite, il comprit qu’il n’en était rien. Bien que battue en brèche, la doxa, la pensée unique ne s’en montra que plus que plus insistante en martelant ses principaux dogmes : la race n’existe pas, mais les racistes existent. Seuls les Blancs sont racistes. L’identité – qu’elle soit ethnique ou sexuelle – ne doit pas être figée. L’école a pour principale mission de lutter contre les inégalités. La virilité est toxique. L’Islam est une religion d’amour, de tolérance et de paix. Le capitalisme et le patriarcat tyrannisent les femmes comme ils détruisent la planète. Il n’y a pas de culture française ; il y a des cultures en France. L’immigration est une chance pour la France. La France ne peut rien sans l’Europe." Le commentaire est-il positif ou négatif ?
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Avis : " Après le retentissant succès du « Suicide français », Eric Zemmour pensait naïvement avoir gagné la bataille des idées. Très vite, il comprit qu’il n’en était rien. Bien que battue en brèche, la doxa, la pensée unique ne s’en montra que plus que plus insistante en martelant ses principaux dogmes : la race n’existe pas, mais les racistes existent. Seuls les Blancs sont racistes. L’identité – qu’elle soit ethnique ou sexuelle – ne doit pas être figée. L’école a pour principale mission de lutter contre les inégalités. La virilité est toxique. L’Islam est une religion d’amour, de tolérance et de paix. Le capitalisme et le patriarcat tyrannisent les femmes comme ils détruisent la planète. Il n’y a pas de culture française ; il y a des cultures en France. L’immigration est une chance pour la France. La France ne peut rien sans l’Europe. " L'avis est-il positif ou négatif ?
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Critique : "Après le retentissant succès du « Suicide français », Eric Zemmour pensait naïvement avoir gagné la bataille des idées. Très vite, il comprit qu’il n’en était rien. Bien que battue en brèche, la doxa, la pensée unique ne s’en montra que plus que plus insistante en martelant ses principaux dogmes : la race n’existe pas, mais les racistes existent. Seuls les Blancs sont racistes. L’identité – qu’elle soit ethnique ou sexuelle – ne doit pas être figée. L’école a pour principale mission de lutter contre les inégalités. La virilité est toxique. L’Islam est une religion d’amour, de tolérance et de paix. Le capitalisme et le patriarcat tyrannisent les femmes comme ils détruisent la planète. Il n’y a pas de culture française ; il y a des cultures en France. L’immigration est une chance pour la France. La France ne peut rien sans l’Europe." La critique est-elle positive ou négative ?
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Evaluation : " Après le retentissant succès du « Suicide français », Eric Zemmour pensait naïvement avoir gagné la bataille des idées. Très vite, il comprit qu’il n’en était rien. Bien que battue en brèche, la doxa, la pensée unique ne s’en montra que plus que plus insistante en martelant ses principaux dogmes : la race n’existe pas, mais les racistes existent. Seuls les Blancs sont racistes. L’identité – qu’elle soit ethnique ou sexuelle – ne doit pas être figée. L’école a pour principale mission de lutter contre les inégalités. La virilité est toxique. L’Islam est une religion d’amour, de tolérance et de paix. Le capitalisme et le patriarcat tyrannisent les femmes comme ils détruisent la planète. Il n’y a pas de culture française ; il y a des cultures en France. L’immigration est une chance pour la France. La France ne peut rien sans l’Europe. " L'évaluation est-elle positive ou négative ?
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Ce commentaire sur le produit est-il positif ou négatif ? Commentaire : "Après le retentissant succès du « Suicide français », Eric Zemmour pensait naïvement avoir gagné la bataille des idées. Très vite, il comprit qu’il n’en était rien. Bien que battue en brèche, la doxa, la pensée unique ne s’en montra que plus que plus insistante en martelant ses principaux dogmes : la race n’existe pas, mais les racistes existent. Seuls les Blancs sont racistes. L’identité – qu’elle soit ethnique ou sexuelle – ne doit pas être figée. L’école a pour principale mission de lutter contre les inégalités. La virilité est toxique. L’Islam est une religion d’amour, de tolérance et de paix. Le capitalisme et le patriarcat tyrannisent les femmes comme ils détruisent la planète. Il n’y a pas de culture française ; il y a des cultures en France. L’immigration est une chance pour la France. La France ne peut rien sans l’Europe." Réponse :
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Cet avis sur le produit est-il positif ou négatif ? Avis : "Après le retentissant succès du « Suicide français », Eric Zemmour pensait naïvement avoir gagné la bataille des idées. Très vite, il comprit qu’il n’en était rien. Bien que battue en brèche, la doxa, la pensée unique ne s’en montra que plus que plus insistante en martelant ses principaux dogmes : la race n’existe pas, mais les racistes existent. Seuls les Blancs sont racistes. L’identité – qu’elle soit ethnique ou sexuelle – ne doit pas être figée. L’école a pour principale mission de lutter contre les inégalités. La virilité est toxique. L’Islam est une religion d’amour, de tolérance et de paix. Le capitalisme et le patriarcat tyrannisent les femmes comme ils détruisent la planète. Il n’y a pas de culture française ; il y a des cultures en France. L’immigration est une chance pour la France. La France ne peut rien sans l’Europe." Réponse :
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Cette critique sur le produit est-elle positive ou négative ? Critique : "Après le retentissant succès du « Suicide français », Eric Zemmour pensait naïvement avoir gagné la bataille des idées. Très vite, il comprit qu’il n’en était rien. Bien que battue en brèche, la doxa, la pensée unique ne s’en montra que plus que plus insistante en martelant ses principaux dogmes : la race n’existe pas, mais les racistes existent. Seuls les Blancs sont racistes. L’identité – qu’elle soit ethnique ou sexuelle – ne doit pas être figée. L’école a pour principale mission de lutter contre les inégalités. La virilité est toxique. L’Islam est une religion d’amour, de tolérance et de paix. Le capitalisme et le patriarcat tyrannisent les femmes comme ils détruisent la planète. Il n’y a pas de culture française ; il y a des cultures en France. L’immigration est une chance pour la France. La France ne peut rien sans l’Europe." Réponse :
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Cette évaluation sur le produit est-elle positive ou négative ? Evaluation : "Après le retentissant succès du « Suicide français », Eric Zemmour pensait naïvement avoir gagné la bataille des idées. Très vite, il comprit qu’il n’en était rien. Bien que battue en brèche, la doxa, la pensée unique ne s’en montra que plus que plus insistante en martelant ses principaux dogmes : la race n’existe pas, mais les racistes existent. Seuls les Blancs sont racistes. L’identité – qu’elle soit ethnique ou sexuelle – ne doit pas être figée. L’école a pour principale mission de lutter contre les inégalités. La virilité est toxique. L’Islam est une religion d’amour, de tolérance et de paix. Le capitalisme et le patriarcat tyrannisent les femmes comme ils détruisent la planète. Il n’y a pas de culture française ; il y a des cultures en France. L’immigration est une chance pour la France. La France ne peut rien sans l’Europe." Réponse :
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Commentaire : "Après le retentissant succès du « Suicide français », Eric Zemmour pensait naïvement avoir gagné la bataille des idées. Très vite, il comprit qu’il n’en était rien. Bien que battue en brèche, la doxa, la pensée unique ne s’en montra que plus que plus insistante en martelant ses principaux dogmes : la race n’existe pas, mais les racistes existent. Seuls les Blancs sont racistes. L’identité – qu’elle soit ethnique ou sexuelle – ne doit pas être figée. L’école a pour principale mission de lutter contre les inégalités. La virilité est toxique. L’Islam est une religion d’amour, de tolérance et de paix. Le capitalisme et le patriarcat tyrannisent les femmes comme ils détruisent la planète. Il n’y a pas de culture française ; il y a des cultures en France. L’immigration est une chance pour la France. La France ne peut rien sans l’Europe." Ce commentaire sur le produit exprime-t-il un sentiment négatif ou positif ?
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Critique du produit : "Après le retentissant succès du « Suicide français », Eric Zemmour pensait naïvement avoir gagné la bataille des idées. Très vite, il comprit qu’il n’en était rien. Bien que battue en brèche, la doxa, la pensée unique ne s’en montra que plus que plus insistante en martelant ses principaux dogmes : la race n’existe pas, mais les racistes existent. Seuls les Blancs sont racistes. L’identité – qu’elle soit ethnique ou sexuelle – ne doit pas être figée. L’école a pour principale mission de lutter contre les inégalités. La virilité est toxique. L’Islam est une religion d’amour, de tolérance et de paix. Le capitalisme et le patriarcat tyrannisent les femmes comme ils détruisent la planète. Il n’y a pas de culture française ; il y a des cultures en France. L’immigration est une chance pour la France. La France ne peut rien sans l’Europe." Cette critique dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ?
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Commentaire : "La traduction maladroite de la bible latine de Saint-Jérôme a produit un sens générique de l’homme en français repris par les dictionnaires successifs. Les conséquences s’en font encore sentir chez les francophones tandis que les cinq langues officielles de l’UE lui ont préféré celui d’humain. Les Académiciens encore plus réfractaires que les politiques à la féminisation des substantifs, adjectifs et pronoms écrits au masculin ou au neutre n’ont pas senti le ridicule du sens conservé aux droits de l’homme quand il s’applique aux femmes. Mettre une majuscule à Homme n’y change rien ! Des règles médiévales de désignation en termes féminins avec des accords grammaticaux spécifiques ont été effacées sans scrupule au profit d’un millénaire de domination patriarcale entériné par le langage." Le commentaire est-il positif ou négatif ?
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Avis : " La traduction maladroite de la bible latine de Saint-Jérôme a produit un sens générique de l’homme en français repris par les dictionnaires successifs. Les conséquences s’en font encore sentir chez les francophones tandis que les cinq langues officielles de l’UE lui ont préféré celui d’humain. Les Académiciens encore plus réfractaires que les politiques à la féminisation des substantifs, adjectifs et pronoms écrits au masculin ou au neutre n’ont pas senti le ridicule du sens conservé aux droits de l’homme quand il s’applique aux femmes. Mettre une majuscule à Homme n’y change rien ! Des règles médiévales de désignation en termes féminins avec des accords grammaticaux spécifiques ont été effacées sans scrupule au profit d’un millénaire de domination patriarcale entériné par le langage. " L'avis est-il positif ou négatif ?
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Critique : "La traduction maladroite de la bible latine de Saint-Jérôme a produit un sens générique de l’homme en français repris par les dictionnaires successifs. Les conséquences s’en font encore sentir chez les francophones tandis que les cinq langues officielles de l’UE lui ont préféré celui d’humain. Les Académiciens encore plus réfractaires que les politiques à la féminisation des substantifs, adjectifs et pronoms écrits au masculin ou au neutre n’ont pas senti le ridicule du sens conservé aux droits de l’homme quand il s’applique aux femmes. Mettre une majuscule à Homme n’y change rien ! Des règles médiévales de désignation en termes féminins avec des accords grammaticaux spécifiques ont été effacées sans scrupule au profit d’un millénaire de domination patriarcale entériné par le langage." La critique est-elle positive ou négative ?
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Cet avis sur le produit est-il positif ou négatif ? Avis : "La traduction maladroite de la bible latine de Saint-Jérôme a produit un sens générique de l’homme en français repris par les dictionnaires successifs. Les conséquences s’en font encore sentir chez les francophones tandis que les cinq langues officielles de l’UE lui ont préféré celui d’humain. Les Académiciens encore plus réfractaires que les politiques à la féminisation des substantifs, adjectifs et pronoms écrits au masculin ou au neutre n’ont pas senti le ridicule du sens conservé aux droits de l’homme quand il s’applique aux femmes. Mettre une majuscule à Homme n’y change rien ! Des règles médiévales de désignation en termes féminins avec des accords grammaticaux spécifiques ont été effacées sans scrupule au profit d’un millénaire de domination patriarcale entériné par le langage." Réponse :
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Cette critique sur le produit est-elle positive ou négative ? Critique : "La traduction maladroite de la bible latine de Saint-Jérôme a produit un sens générique de l’homme en français repris par les dictionnaires successifs. Les conséquences s’en font encore sentir chez les francophones tandis que les cinq langues officielles de l’UE lui ont préféré celui d’humain. Les Académiciens encore plus réfractaires que les politiques à la féminisation des substantifs, adjectifs et pronoms écrits au masculin ou au neutre n’ont pas senti le ridicule du sens conservé aux droits de l’homme quand il s’applique aux femmes. Mettre une majuscule à Homme n’y change rien ! Des règles médiévales de désignation en termes féminins avec des accords grammaticaux spécifiques ont été effacées sans scrupule au profit d’un millénaire de domination patriarcale entériné par le langage." Réponse :
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Cette évaluation sur le produit est-elle positive ou négative ? Evaluation : "La traduction maladroite de la bible latine de Saint-Jérôme a produit un sens générique de l’homme en français repris par les dictionnaires successifs. Les conséquences s’en font encore sentir chez les francophones tandis que les cinq langues officielles de l’UE lui ont préféré celui d’humain. Les Académiciens encore plus réfractaires que les politiques à la féminisation des substantifs, adjectifs et pronoms écrits au masculin ou au neutre n’ont pas senti le ridicule du sens conservé aux droits de l’homme quand il s’applique aux femmes. Mettre une majuscule à Homme n’y change rien ! Des règles médiévales de désignation en termes féminins avec des accords grammaticaux spécifiques ont été effacées sans scrupule au profit d’un millénaire de domination patriarcale entériné par le langage." Réponse :
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Commentaire : "La traduction maladroite de la bible latine de Saint-Jérôme a produit un sens générique de l’homme en français repris par les dictionnaires successifs. Les conséquences s’en font encore sentir chez les francophones tandis que les cinq langues officielles de l’UE lui ont préféré celui d’humain. Les Académiciens encore plus réfractaires que les politiques à la féminisation des substantifs, adjectifs et pronoms écrits au masculin ou au neutre n’ont pas senti le ridicule du sens conservé aux droits de l’homme quand il s’applique aux femmes. Mettre une majuscule à Homme n’y change rien ! Des règles médiévales de désignation en termes féminins avec des accords grammaticaux spécifiques ont été effacées sans scrupule au profit d’un millénaire de domination patriarcale entériné par le langage." Ce commentaire sur le produit exprime-t-il un sentiment négatif ou positif ?
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Avis : "La traduction maladroite de la bible latine de Saint-Jérôme a produit un sens générique de l’homme en français repris par les dictionnaires successifs. Les conséquences s’en font encore sentir chez les francophones tandis que les cinq langues officielles de l’UE lui ont préféré celui d’humain. Les Académiciens encore plus réfractaires que les politiques à la féminisation des substantifs, adjectifs et pronoms écrits au masculin ou au neutre n’ont pas senti le ridicule du sens conservé aux droits de l’homme quand il s’applique aux femmes. Mettre une majuscule à Homme n’y change rien ! Des règles médiévales de désignation en termes féminins avec des accords grammaticaux spécifiques ont été effacées sans scrupule au profit d’un millénaire de domination patriarcale entériné par le langage." Cet avis sur le produit exprime-t-il un sentiment négatif ou positif ?
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Critique : "La traduction maladroite de la bible latine de Saint-Jérôme a produit un sens générique de l’homme en français repris par les dictionnaires successifs. Les conséquences s’en font encore sentir chez les francophones tandis que les cinq langues officielles de l’UE lui ont préféré celui d’humain. Les Académiciens encore plus réfractaires que les politiques à la féminisation des substantifs, adjectifs et pronoms écrits au masculin ou au neutre n’ont pas senti le ridicule du sens conservé aux droits de l’homme quand il s’applique aux femmes. Mettre une majuscule à Homme n’y change rien ! Des règles médiévales de désignation en termes féminins avec des accords grammaticaux spécifiques ont été effacées sans scrupule au profit d’un millénaire de domination patriarcale entériné par le langage." Cette critique sur le produit exprime-t-il un sentiment négatif ou positif ?
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Evaluation : "La traduction maladroite de la bible latine de Saint-Jérôme a produit un sens générique de l’homme en français repris par les dictionnaires successifs. Les conséquences s’en font encore sentir chez les francophones tandis que les cinq langues officielles de l’UE lui ont préféré celui d’humain. Les Académiciens encore plus réfractaires que les politiques à la féminisation des substantifs, adjectifs et pronoms écrits au masculin ou au neutre n’ont pas senti le ridicule du sens conservé aux droits de l’homme quand il s’applique aux femmes. Mettre une majuscule à Homme n’y change rien ! Des règles médiévales de désignation en termes féminins avec des accords grammaticaux spécifiques ont été effacées sans scrupule au profit d’un millénaire de domination patriarcale entériné par le langage." Cette évaluation sur le produit exprime-t-il un sentiment négatif ou positif ?
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Ce commentaire sur le produit a-t-il un ton négatif ou positif ? Commentaire : "La traduction maladroite de la bible latine de Saint-Jérôme a produit un sens générique de l’homme en français repris par les dictionnaires successifs. Les conséquences s’en font encore sentir chez les francophones tandis que les cinq langues officielles de l’UE lui ont préféré celui d’humain. Les Académiciens encore plus réfractaires que les politiques à la féminisation des substantifs, adjectifs et pronoms écrits au masculin ou au neutre n’ont pas senti le ridicule du sens conservé aux droits de l’homme quand il s’applique aux femmes. Mettre une majuscule à Homme n’y change rien ! Des règles médiévales de désignation en termes féminins avec des accords grammaticaux spécifiques ont été effacées sans scrupule au profit d’un millénaire de domination patriarcale entériné par le langage." Réponse :
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Cet avis sur le produit a-t-il un ton négatif ou positif ? Avis : "La traduction maladroite de la bible latine de Saint-Jérôme a produit un sens générique de l’homme en français repris par les dictionnaires successifs. Les conséquences s’en font encore sentir chez les francophones tandis que les cinq langues officielles de l’UE lui ont préféré celui d’humain. Les Académiciens encore plus réfractaires que les politiques à la féminisation des substantifs, adjectifs et pronoms écrits au masculin ou au neutre n’ont pas senti le ridicule du sens conservé aux droits de l’homme quand il s’applique aux femmes. Mettre une majuscule à Homme n’y change rien ! Des règles médiévales de désignation en termes féminins avec des accords grammaticaux spécifiques ont été effacées sans scrupule au profit d’un millénaire de domination patriarcale entériné par le langage." Réponse :
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Voici un commentaire laissé par un client sur un produit. Diriez-vous qu'il est négatif ou positif ? Commentaire : La traduction maladroite de la bible latine de Saint-Jérôme a produit un sens générique de l’homme en français repris par les dictionnaires successifs. Les conséquences s’en font encore sentir chez les francophones tandis que les cinq langues officielles de l’UE lui ont préféré celui d’humain. Les Académiciens encore plus réfractaires que les politiques à la féminisation des substantifs, adjectifs et pronoms écrits au masculin ou au neutre n’ont pas senti le ridicule du sens conservé aux droits de l’homme quand il s’applique aux femmes. Mettre une majuscule à Homme n’y change rien ! Des règles médiévales de désignation en termes féminins avec des accords grammaticaux spécifiques ont été effacées sans scrupule au profit d’un millénaire de domination patriarcale entériné par le langage.
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Voici un avis laissé par un client sur un produit. Diriez-vous qu'il est négatif ou positif ? Avis : La traduction maladroite de la bible latine de Saint-Jérôme a produit un sens générique de l’homme en français repris par les dictionnaires successifs. Les conséquences s’en font encore sentir chez les francophones tandis que les cinq langues officielles de l’UE lui ont préféré celui d’humain. Les Académiciens encore plus réfractaires que les politiques à la féminisation des substantifs, adjectifs et pronoms écrits au masculin ou au neutre n’ont pas senti le ridicule du sens conservé aux droits de l’homme quand il s’applique aux femmes. Mettre une majuscule à Homme n’y change rien ! Des règles médiévales de désignation en termes féminins avec des accords grammaticaux spécifiques ont été effacées sans scrupule au profit d’un millénaire de domination patriarcale entériné par le langage.
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Voici une critique laissée par un client sur un produit. Diriez-vous qu'elle est négative ou positive ? Critique : La traduction maladroite de la bible latine de Saint-Jérôme a produit un sens générique de l’homme en français repris par les dictionnaires successifs. Les conséquences s’en font encore sentir chez les francophones tandis que les cinq langues officielles de l’UE lui ont préféré celui d’humain. Les Académiciens encore plus réfractaires que les politiques à la féminisation des substantifs, adjectifs et pronoms écrits au masculin ou au neutre n’ont pas senti le ridicule du sens conservé aux droits de l’homme quand il s’applique aux femmes. Mettre une majuscule à Homme n’y change rien ! Des règles médiévales de désignation en termes féminins avec des accords grammaticaux spécifiques ont été effacées sans scrupule au profit d’un millénaire de domination patriarcale entériné par le langage.
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Critique du produit : "La traduction maladroite de la bible latine de Saint-Jérôme a produit un sens générique de l’homme en français repris par les dictionnaires successifs. Les conséquences s’en font encore sentir chez les francophones tandis que les cinq langues officielles de l’UE lui ont préféré celui d’humain. Les Académiciens encore plus réfractaires que les politiques à la féminisation des substantifs, adjectifs et pronoms écrits au masculin ou au neutre n’ont pas senti le ridicule du sens conservé aux droits de l’homme quand il s’applique aux femmes. Mettre une majuscule à Homme n’y change rien ! Des règles médiévales de désignation en termes féminins avec des accords grammaticaux spécifiques ont été effacées sans scrupule au profit d’un millénaire de domination patriarcale entériné par le langage." Cette critique dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ?
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Evaluation du produit : "La traduction maladroite de la bible latine de Saint-Jérôme a produit un sens générique de l’homme en français repris par les dictionnaires successifs. Les conséquences s’en font encore sentir chez les francophones tandis que les cinq langues officielles de l’UE lui ont préféré celui d’humain. Les Académiciens encore plus réfractaires que les politiques à la féminisation des substantifs, adjectifs et pronoms écrits au masculin ou au neutre n’ont pas senti le ridicule du sens conservé aux droits de l’homme quand il s’applique aux femmes. Mettre une majuscule à Homme n’y change rien ! Des règles médiévales de désignation en termes féminins avec des accords grammaticaux spécifiques ont été effacées sans scrupule au profit d’un millénaire de domination patriarcale entériné par le langage." Cette évaluation dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ?
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Commentaire : "Depuis sa mort en 1998, Julien Green semble avoir rejoint le purgatoire des écrivains. Un lieu qui, par définition, ne retient pas pour toujours ses résidents mais qui peut cependant les y garder longtemps, très longtemps. Certes, la parution du premier volume du Journal Intégral du grand écrivain, dont le texte était resté, en grande partie, inédit, a provoqué, lors de sa parution en 2019, quelques frémissements étonnés, si ce n’est scandalisés ou même moqueurs. Quoi ! Ce romancier à qui l’on accolait si volontiers l’étiquette de catholique avait mené, pendant des années, une vie de plaisir effrénée, insatiable, qu’il décrivait abondamment et au moyen des termes les plus directs, les plus crus ! On pouvait être éberlué, on pouvait même se gausser, mais prenait-on vraiment en compte la vérité d’un homme, de cet homme, Julien Green. Ne percevait-on pas que, même au plus fort de la recherche immodérée des plaisirs avec des quantités d’hommes de rencontre, il demeurait un espace pour une autre quête, plus intime, plus secrète, et, durant les années que couvrait le premier volume, presque totalement enfouie sous des apparences d’une vie consacrée à la sensualité ? Pourtant, déjà, à la fin de ce premier volume, comme je l’avais fait remarquer dans le long article que j’avais fait paraître sur mon blog, l’on pressentait, l’on devinait, si l’on était attentif, qu’une autre aspiration demeurait au profond de l’homme, comme une étincelle qui n’avait pas besoin de grand-chose pour devenir un feu." Le commentaire est-il positif ou négatif ?
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Avis : " Depuis sa mort en 1998, Julien Green semble avoir rejoint le purgatoire des écrivains. Un lieu qui, par définition, ne retient pas pour toujours ses résidents mais qui peut cependant les y garder longtemps, très longtemps. Certes, la parution du premier volume du Journal Intégral du grand écrivain, dont le texte était resté, en grande partie, inédit, a provoqué, lors de sa parution en 2019, quelques frémissements étonnés, si ce n’est scandalisés ou même moqueurs. Quoi ! Ce romancier à qui l’on accolait si volontiers l’étiquette de catholique avait mené, pendant des années, une vie de plaisir effrénée, insatiable, qu’il décrivait abondamment et au moyen des termes les plus directs, les plus crus ! On pouvait être éberlué, on pouvait même se gausser, mais prenait-on vraiment en compte la vérité d’un homme, de cet homme, Julien Green. Ne percevait-on pas que, même au plus fort de la recherche immodérée des plaisirs avec des quantités d’hommes de rencontre, il demeurait un espace pour une autre quête, plus intime, plus secrète, et, durant les années que couvrait le premier volume, presque totalement enfouie sous des apparences d’une vie consacrée à la sensualité ? Pourtant, déjà, à la fin de ce premier volume, comme je l’avais fait remarquer dans le long article que j’avais fait paraître sur mon blog, l’on pressentait, l’on devinait, si l’on était attentif, qu’une autre aspiration demeurait au profond de l’homme, comme une étincelle qui n’avait pas besoin de grand-chose pour devenir un feu. " L'avis est-il positif ou négatif ?
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Critique : "Depuis sa mort en 1998, Julien Green semble avoir rejoint le purgatoire des écrivains. Un lieu qui, par définition, ne retient pas pour toujours ses résidents mais qui peut cependant les y garder longtemps, très longtemps. Certes, la parution du premier volume du Journal Intégral du grand écrivain, dont le texte était resté, en grande partie, inédit, a provoqué, lors de sa parution en 2019, quelques frémissements étonnés, si ce n’est scandalisés ou même moqueurs. Quoi ! Ce romancier à qui l’on accolait si volontiers l’étiquette de catholique avait mené, pendant des années, une vie de plaisir effrénée, insatiable, qu’il décrivait abondamment et au moyen des termes les plus directs, les plus crus ! On pouvait être éberlué, on pouvait même se gausser, mais prenait-on vraiment en compte la vérité d’un homme, de cet homme, Julien Green. Ne percevait-on pas que, même au plus fort de la recherche immodérée des plaisirs avec des quantités d’hommes de rencontre, il demeurait un espace pour une autre quête, plus intime, plus secrète, et, durant les années que couvrait le premier volume, presque totalement enfouie sous des apparences d’une vie consacrée à la sensualité ? Pourtant, déjà, à la fin de ce premier volume, comme je l’avais fait remarquer dans le long article que j’avais fait paraître sur mon blog, l’on pressentait, l’on devinait, si l’on était attentif, qu’une autre aspiration demeurait au profond de l’homme, comme une étincelle qui n’avait pas besoin de grand-chose pour devenir un feu." La critique est-elle positive ou négative ?
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Evaluation : " Depuis sa mort en 1998, Julien Green semble avoir rejoint le purgatoire des écrivains. Un lieu qui, par définition, ne retient pas pour toujours ses résidents mais qui peut cependant les y garder longtemps, très longtemps. Certes, la parution du premier volume du Journal Intégral du grand écrivain, dont le texte était resté, en grande partie, inédit, a provoqué, lors de sa parution en 2019, quelques frémissements étonnés, si ce n’est scandalisés ou même moqueurs. Quoi ! Ce romancier à qui l’on accolait si volontiers l’étiquette de catholique avait mené, pendant des années, une vie de plaisir effrénée, insatiable, qu’il décrivait abondamment et au moyen des termes les plus directs, les plus crus ! On pouvait être éberlué, on pouvait même se gausser, mais prenait-on vraiment en compte la vérité d’un homme, de cet homme, Julien Green. Ne percevait-on pas que, même au plus fort de la recherche immodérée des plaisirs avec des quantités d’hommes de rencontre, il demeurait un espace pour une autre quête, plus intime, plus secrète, et, durant les années que couvrait le premier volume, presque totalement enfouie sous des apparences d’une vie consacrée à la sensualité ? Pourtant, déjà, à la fin de ce premier volume, comme je l’avais fait remarquer dans le long article que j’avais fait paraître sur mon blog, l’on pressentait, l’on devinait, si l’on était attentif, qu’une autre aspiration demeurait au profond de l’homme, comme une étincelle qui n’avait pas besoin de grand-chose pour devenir un feu. " L'évaluation est-elle positive ou négative ?
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Ce commentaire sur le produit est-il positif ou négatif ? Commentaire : "Depuis sa mort en 1998, Julien Green semble avoir rejoint le purgatoire des écrivains. Un lieu qui, par définition, ne retient pas pour toujours ses résidents mais qui peut cependant les y garder longtemps, très longtemps. Certes, la parution du premier volume du Journal Intégral du grand écrivain, dont le texte était resté, en grande partie, inédit, a provoqué, lors de sa parution en 2019, quelques frémissements étonnés, si ce n’est scandalisés ou même moqueurs. Quoi ! Ce romancier à qui l’on accolait si volontiers l’étiquette de catholique avait mené, pendant des années, une vie de plaisir effrénée, insatiable, qu’il décrivait abondamment et au moyen des termes les plus directs, les plus crus ! On pouvait être éberlué, on pouvait même se gausser, mais prenait-on vraiment en compte la vérité d’un homme, de cet homme, Julien Green. Ne percevait-on pas que, même au plus fort de la recherche immodérée des plaisirs avec des quantités d’hommes de rencontre, il demeurait un espace pour une autre quête, plus intime, plus secrète, et, durant les années que couvrait le premier volume, presque totalement enfouie sous des apparences d’une vie consacrée à la sensualité ? Pourtant, déjà, à la fin de ce premier volume, comme je l’avais fait remarquer dans le long article que j’avais fait paraître sur mon blog, l’on pressentait, l’on devinait, si l’on était attentif, qu’une autre aspiration demeurait au profond de l’homme, comme une étincelle qui n’avait pas besoin de grand-chose pour devenir un feu." Réponse :
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Cette évaluation sur le produit est-elle positive ou négative ? Evaluation : "Depuis sa mort en 1998, Julien Green semble avoir rejoint le purgatoire des écrivains. Un lieu qui, par définition, ne retient pas pour toujours ses résidents mais qui peut cependant les y garder longtemps, très longtemps. Certes, la parution du premier volume du Journal Intégral du grand écrivain, dont le texte était resté, en grande partie, inédit, a provoqué, lors de sa parution en 2019, quelques frémissements étonnés, si ce n’est scandalisés ou même moqueurs. Quoi ! Ce romancier à qui l’on accolait si volontiers l’étiquette de catholique avait mené, pendant des années, une vie de plaisir effrénée, insatiable, qu’il décrivait abondamment et au moyen des termes les plus directs, les plus crus ! On pouvait être éberlué, on pouvait même se gausser, mais prenait-on vraiment en compte la vérité d’un homme, de cet homme, Julien Green. Ne percevait-on pas que, même au plus fort de la recherche immodérée des plaisirs avec des quantités d’hommes de rencontre, il demeurait un espace pour une autre quête, plus intime, plus secrète, et, durant les années que couvrait le premier volume, presque totalement enfouie sous des apparences d’une vie consacrée à la sensualité ? Pourtant, déjà, à la fin de ce premier volume, comme je l’avais fait remarquer dans le long article que j’avais fait paraître sur mon blog, l’on pressentait, l’on devinait, si l’on était attentif, qu’une autre aspiration demeurait au profond de l’homme, comme une étincelle qui n’avait pas besoin de grand-chose pour devenir un feu." Réponse :
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Commentaire : "Depuis sa mort en 1998, Julien Green semble avoir rejoint le purgatoire des écrivains. Un lieu qui, par définition, ne retient pas pour toujours ses résidents mais qui peut cependant les y garder longtemps, très longtemps. Certes, la parution du premier volume du Journal Intégral du grand écrivain, dont le texte était resté, en grande partie, inédit, a provoqué, lors de sa parution en 2019, quelques frémissements étonnés, si ce n’est scandalisés ou même moqueurs. Quoi ! Ce romancier à qui l’on accolait si volontiers l’étiquette de catholique avait mené, pendant des années, une vie de plaisir effrénée, insatiable, qu’il décrivait abondamment et au moyen des termes les plus directs, les plus crus ! On pouvait être éberlué, on pouvait même se gausser, mais prenait-on vraiment en compte la vérité d’un homme, de cet homme, Julien Green. Ne percevait-on pas que, même au plus fort de la recherche immodérée des plaisirs avec des quantités d’hommes de rencontre, il demeurait un espace pour une autre quête, plus intime, plus secrète, et, durant les années que couvrait le premier volume, presque totalement enfouie sous des apparences d’une vie consacrée à la sensualité ? Pourtant, déjà, à la fin de ce premier volume, comme je l’avais fait remarquer dans le long article que j’avais fait paraître sur mon blog, l’on pressentait, l’on devinait, si l’on était attentif, qu’une autre aspiration demeurait au profond de l’homme, comme une étincelle qui n’avait pas besoin de grand-chose pour devenir un feu." Ce commentaire sur le produit exprime-t-il un sentiment négatif ou positif ?
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Avis : "Depuis sa mort en 1998, Julien Green semble avoir rejoint le purgatoire des écrivains. Un lieu qui, par définition, ne retient pas pour toujours ses résidents mais qui peut cependant les y garder longtemps, très longtemps. Certes, la parution du premier volume du Journal Intégral du grand écrivain, dont le texte était resté, en grande partie, inédit, a provoqué, lors de sa parution en 2019, quelques frémissements étonnés, si ce n’est scandalisés ou même moqueurs. Quoi ! Ce romancier à qui l’on accolait si volontiers l’étiquette de catholique avait mené, pendant des années, une vie de plaisir effrénée, insatiable, qu’il décrivait abondamment et au moyen des termes les plus directs, les plus crus ! On pouvait être éberlué, on pouvait même se gausser, mais prenait-on vraiment en compte la vérité d’un homme, de cet homme, Julien Green. Ne percevait-on pas que, même au plus fort de la recherche immodérée des plaisirs avec des quantités d’hommes de rencontre, il demeurait un espace pour une autre quête, plus intime, plus secrète, et, durant les années que couvrait le premier volume, presque totalement enfouie sous des apparences d’une vie consacrée à la sensualité ? Pourtant, déjà, à la fin de ce premier volume, comme je l’avais fait remarquer dans le long article que j’avais fait paraître sur mon blog, l’on pressentait, l’on devinait, si l’on était attentif, qu’une autre aspiration demeurait au profond de l’homme, comme une étincelle qui n’avait pas besoin de grand-chose pour devenir un feu." Cet avis sur le produit exprime-t-il un sentiment négatif ou positif ?
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Critique : "Depuis sa mort en 1998, Julien Green semble avoir rejoint le purgatoire des écrivains. Un lieu qui, par définition, ne retient pas pour toujours ses résidents mais qui peut cependant les y garder longtemps, très longtemps. Certes, la parution du premier volume du Journal Intégral du grand écrivain, dont le texte était resté, en grande partie, inédit, a provoqué, lors de sa parution en 2019, quelques frémissements étonnés, si ce n’est scandalisés ou même moqueurs. Quoi ! Ce romancier à qui l’on accolait si volontiers l’étiquette de catholique avait mené, pendant des années, une vie de plaisir effrénée, insatiable, qu’il décrivait abondamment et au moyen des termes les plus directs, les plus crus ! On pouvait être éberlué, on pouvait même se gausser, mais prenait-on vraiment en compte la vérité d’un homme, de cet homme, Julien Green. Ne percevait-on pas que, même au plus fort de la recherche immodérée des plaisirs avec des quantités d’hommes de rencontre, il demeurait un espace pour une autre quête, plus intime, plus secrète, et, durant les années que couvrait le premier volume, presque totalement enfouie sous des apparences d’une vie consacrée à la sensualité ? Pourtant, déjà, à la fin de ce premier volume, comme je l’avais fait remarquer dans le long article que j’avais fait paraître sur mon blog, l’on pressentait, l’on devinait, si l’on était attentif, qu’une autre aspiration demeurait au profond de l’homme, comme une étincelle qui n’avait pas besoin de grand-chose pour devenir un feu." Cette critique sur le produit exprime-t-il un sentiment négatif ou positif ?
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Evaluation : "Depuis sa mort en 1998, Julien Green semble avoir rejoint le purgatoire des écrivains. Un lieu qui, par définition, ne retient pas pour toujours ses résidents mais qui peut cependant les y garder longtemps, très longtemps. Certes, la parution du premier volume du Journal Intégral du grand écrivain, dont le texte était resté, en grande partie, inédit, a provoqué, lors de sa parution en 2019, quelques frémissements étonnés, si ce n’est scandalisés ou même moqueurs. Quoi ! Ce romancier à qui l’on accolait si volontiers l’étiquette de catholique avait mené, pendant des années, une vie de plaisir effrénée, insatiable, qu’il décrivait abondamment et au moyen des termes les plus directs, les plus crus ! On pouvait être éberlué, on pouvait même se gausser, mais prenait-on vraiment en compte la vérité d’un homme, de cet homme, Julien Green. Ne percevait-on pas que, même au plus fort de la recherche immodérée des plaisirs avec des quantités d’hommes de rencontre, il demeurait un espace pour une autre quête, plus intime, plus secrète, et, durant les années que couvrait le premier volume, presque totalement enfouie sous des apparences d’une vie consacrée à la sensualité ? Pourtant, déjà, à la fin de ce premier volume, comme je l’avais fait remarquer dans le long article que j’avais fait paraître sur mon blog, l’on pressentait, l’on devinait, si l’on était attentif, qu’une autre aspiration demeurait au profond de l’homme, comme une étincelle qui n’avait pas besoin de grand-chose pour devenir un feu." Cette évaluation sur le produit exprime-t-il un sentiment négatif ou positif ?
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Cet avis sur le produit a-t-il un ton négatif ou positif ? Avis : "Depuis sa mort en 1998, Julien Green semble avoir rejoint le purgatoire des écrivains. Un lieu qui, par définition, ne retient pas pour toujours ses résidents mais qui peut cependant les y garder longtemps, très longtemps. Certes, la parution du premier volume du Journal Intégral du grand écrivain, dont le texte était resté, en grande partie, inédit, a provoqué, lors de sa parution en 2019, quelques frémissements étonnés, si ce n’est scandalisés ou même moqueurs. Quoi ! Ce romancier à qui l’on accolait si volontiers l’étiquette de catholique avait mené, pendant des années, une vie de plaisir effrénée, insatiable, qu’il décrivait abondamment et au moyen des termes les plus directs, les plus crus ! On pouvait être éberlué, on pouvait même se gausser, mais prenait-on vraiment en compte la vérité d’un homme, de cet homme, Julien Green. Ne percevait-on pas que, même au plus fort de la recherche immodérée des plaisirs avec des quantités d’hommes de rencontre, il demeurait un espace pour une autre quête, plus intime, plus secrète, et, durant les années que couvrait le premier volume, presque totalement enfouie sous des apparences d’une vie consacrée à la sensualité ? Pourtant, déjà, à la fin de ce premier volume, comme je l’avais fait remarquer dans le long article que j’avais fait paraître sur mon blog, l’on pressentait, l’on devinait, si l’on était attentif, qu’une autre aspiration demeurait au profond de l’homme, comme une étincelle qui n’avait pas besoin de grand-chose pour devenir un feu." Réponse :
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Voici un commentaire laissé par un client sur un produit. Diriez-vous qu'il est négatif ou positif ? Commentaire : Depuis sa mort en 1998, Julien Green semble avoir rejoint le purgatoire des écrivains. Un lieu qui, par définition, ne retient pas pour toujours ses résidents mais qui peut cependant les y garder longtemps, très longtemps. Certes, la parution du premier volume du Journal Intégral du grand écrivain, dont le texte était resté, en grande partie, inédit, a provoqué, lors de sa parution en 2019, quelques frémissements étonnés, si ce n’est scandalisés ou même moqueurs. Quoi ! Ce romancier à qui l’on accolait si volontiers l’étiquette de catholique avait mené, pendant des années, une vie de plaisir effrénée, insatiable, qu’il décrivait abondamment et au moyen des termes les plus directs, les plus crus ! On pouvait être éberlué, on pouvait même se gausser, mais prenait-on vraiment en compte la vérité d’un homme, de cet homme, Julien Green. Ne percevait-on pas que, même au plus fort de la recherche immodérée des plaisirs avec des quantités d’hommes de rencontre, il demeurait un espace pour une autre quête, plus intime, plus secrète, et, durant les années que couvrait le premier volume, presque totalement enfouie sous des apparences d’une vie consacrée à la sensualité ? Pourtant, déjà, à la fin de ce premier volume, comme je l’avais fait remarquer dans le long article que j’avais fait paraître sur mon blog, l’on pressentait, l’on devinait, si l’on était attentif, qu’une autre aspiration demeurait au profond de l’homme, comme une étincelle qui n’avait pas besoin de grand-chose pour devenir un feu.
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Commentaire du produit : "Depuis sa mort en 1998, Julien Green semble avoir rejoint le purgatoire des écrivains. Un lieu qui, par définition, ne retient pas pour toujours ses résidents mais qui peut cependant les y garder longtemps, très longtemps. Certes, la parution du premier volume du Journal Intégral du grand écrivain, dont le texte était resté, en grande partie, inédit, a provoqué, lors de sa parution en 2019, quelques frémissements étonnés, si ce n’est scandalisés ou même moqueurs. Quoi ! Ce romancier à qui l’on accolait si volontiers l’étiquette de catholique avait mené, pendant des années, une vie de plaisir effrénée, insatiable, qu’il décrivait abondamment et au moyen des termes les plus directs, les plus crus ! On pouvait être éberlué, on pouvait même se gausser, mais prenait-on vraiment en compte la vérité d’un homme, de cet homme, Julien Green. Ne percevait-on pas que, même au plus fort de la recherche immodérée des plaisirs avec des quantités d’hommes de rencontre, il demeurait un espace pour une autre quête, plus intime, plus secrète, et, durant les années que couvrait le premier volume, presque totalement enfouie sous des apparences d’une vie consacrée à la sensualité ? Pourtant, déjà, à la fin de ce premier volume, comme je l’avais fait remarquer dans le long article que j’avais fait paraître sur mon blog, l’on pressentait, l’on devinait, si l’on était attentif, qu’une autre aspiration demeurait au profond de l’homme, comme une étincelle qui n’avait pas besoin de grand-chose pour devenir un feu." Ce commentaire dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ?
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Avis du produit : "Depuis sa mort en 1998, Julien Green semble avoir rejoint le purgatoire des écrivains. Un lieu qui, par définition, ne retient pas pour toujours ses résidents mais qui peut cependant les y garder longtemps, très longtemps. Certes, la parution du premier volume du Journal Intégral du grand écrivain, dont le texte était resté, en grande partie, inédit, a provoqué, lors de sa parution en 2019, quelques frémissements étonnés, si ce n’est scandalisés ou même moqueurs. Quoi ! Ce romancier à qui l’on accolait si volontiers l’étiquette de catholique avait mené, pendant des années, une vie de plaisir effrénée, insatiable, qu’il décrivait abondamment et au moyen des termes les plus directs, les plus crus ! On pouvait être éberlué, on pouvait même se gausser, mais prenait-on vraiment en compte la vérité d’un homme, de cet homme, Julien Green. Ne percevait-on pas que, même au plus fort de la recherche immodérée des plaisirs avec des quantités d’hommes de rencontre, il demeurait un espace pour une autre quête, plus intime, plus secrète, et, durant les années que couvrait le premier volume, presque totalement enfouie sous des apparences d’une vie consacrée à la sensualité ? Pourtant, déjà, à la fin de ce premier volume, comme je l’avais fait remarquer dans le long article que j’avais fait paraître sur mon blog, l’on pressentait, l’on devinait, si l’on était attentif, qu’une autre aspiration demeurait au profond de l’homme, comme une étincelle qui n’avait pas besoin de grand-chose pour devenir un feu." Cet avis dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ?
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Critique du produit : "Depuis sa mort en 1998, Julien Green semble avoir rejoint le purgatoire des écrivains. Un lieu qui, par définition, ne retient pas pour toujours ses résidents mais qui peut cependant les y garder longtemps, très longtemps. Certes, la parution du premier volume du Journal Intégral du grand écrivain, dont le texte était resté, en grande partie, inédit, a provoqué, lors de sa parution en 2019, quelques frémissements étonnés, si ce n’est scandalisés ou même moqueurs. Quoi ! Ce romancier à qui l’on accolait si volontiers l’étiquette de catholique avait mené, pendant des années, une vie de plaisir effrénée, insatiable, qu’il décrivait abondamment et au moyen des termes les plus directs, les plus crus ! On pouvait être éberlué, on pouvait même se gausser, mais prenait-on vraiment en compte la vérité d’un homme, de cet homme, Julien Green. Ne percevait-on pas que, même au plus fort de la recherche immodérée des plaisirs avec des quantités d’hommes de rencontre, il demeurait un espace pour une autre quête, plus intime, plus secrète, et, durant les années que couvrait le premier volume, presque totalement enfouie sous des apparences d’une vie consacrée à la sensualité ? Pourtant, déjà, à la fin de ce premier volume, comme je l’avais fait remarquer dans le long article que j’avais fait paraître sur mon blog, l’on pressentait, l’on devinait, si l’on était attentif, qu’une autre aspiration demeurait au profond de l’homme, comme une étincelle qui n’avait pas besoin de grand-chose pour devenir un feu." Cette critique dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ?
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Le commentaire suivant exprime quel sentiment ? CommentaireDepuis sa mort en 1998, Julien Green semble avoir rejoint le purgatoire des écrivains. Un lieu qui, par définition, ne retient pas pour toujours ses résidents mais qui peut cependant les y garder longtemps, très longtemps. Certes, la parution du premier volume du Journal Intégral du grand écrivain, dont le texte était resté, en grande partie, inédit, a provoqué, lors de sa parution en 2019, quelques frémissements étonnés, si ce n’est scandalisés ou même moqueurs. Quoi ! Ce romancier à qui l’on accolait si volontiers l’étiquette de catholique avait mené, pendant des années, une vie de plaisir effrénée, insatiable, qu’il décrivait abondamment et au moyen des termes les plus directs, les plus crus ! On pouvait être éberlué, on pouvait même se gausser, mais prenait-on vraiment en compte la vérité d’un homme, de cet homme, Julien Green. Ne percevait-on pas que, même au plus fort de la recherche immodérée des plaisirs avec des quantités d’hommes de rencontre, il demeurait un espace pour une autre quête, plus intime, plus secrète, et, durant les années que couvrait le premier volume, presque totalement enfouie sous des apparences d’une vie consacrée à la sensualité ? Pourtant, déjà, à la fin de ce premier volume, comme je l’avais fait remarquer dans le long article que j’avais fait paraître sur mon blog, l’on pressentait, l’on devinait, si l’on était attentif, qu’une autre aspiration demeurait au profond de l’homme, comme une étincelle qui n’avait pas besoin de grand-chose pour devenir un feu.
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L'avis suivant exprime quel sentiment ? AvisDepuis sa mort en 1998, Julien Green semble avoir rejoint le purgatoire des écrivains. Un lieu qui, par définition, ne retient pas pour toujours ses résidents mais qui peut cependant les y garder longtemps, très longtemps. Certes, la parution du premier volume du Journal Intégral du grand écrivain, dont le texte était resté, en grande partie, inédit, a provoqué, lors de sa parution en 2019, quelques frémissements étonnés, si ce n’est scandalisés ou même moqueurs. Quoi ! Ce romancier à qui l’on accolait si volontiers l’étiquette de catholique avait mené, pendant des années, une vie de plaisir effrénée, insatiable, qu’il décrivait abondamment et au moyen des termes les plus directs, les plus crus ! On pouvait être éberlué, on pouvait même se gausser, mais prenait-on vraiment en compte la vérité d’un homme, de cet homme, Julien Green. Ne percevait-on pas que, même au plus fort de la recherche immodérée des plaisirs avec des quantités d’hommes de rencontre, il demeurait un espace pour une autre quête, plus intime, plus secrète, et, durant les années que couvrait le premier volume, presque totalement enfouie sous des apparences d’une vie consacrée à la sensualité ? Pourtant, déjà, à la fin de ce premier volume, comme je l’avais fait remarquer dans le long article que j’avais fait paraître sur mon blog, l’on pressentait, l’on devinait, si l’on était attentif, qu’une autre aspiration demeurait au profond de l’homme, comme une étincelle qui n’avait pas besoin de grand-chose pour devenir un feu.
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La critique suivante exprime quel sentiment ? CritiqueDepuis sa mort en 1998, Julien Green semble avoir rejoint le purgatoire des écrivains. Un lieu qui, par définition, ne retient pas pour toujours ses résidents mais qui peut cependant les y garder longtemps, très longtemps. Certes, la parution du premier volume du Journal Intégral du grand écrivain, dont le texte était resté, en grande partie, inédit, a provoqué, lors de sa parution en 2019, quelques frémissements étonnés, si ce n’est scandalisés ou même moqueurs. Quoi ! Ce romancier à qui l’on accolait si volontiers l’étiquette de catholique avait mené, pendant des années, une vie de plaisir effrénée, insatiable, qu’il décrivait abondamment et au moyen des termes les plus directs, les plus crus ! On pouvait être éberlué, on pouvait même se gausser, mais prenait-on vraiment en compte la vérité d’un homme, de cet homme, Julien Green. Ne percevait-on pas que, même au plus fort de la recherche immodérée des plaisirs avec des quantités d’hommes de rencontre, il demeurait un espace pour une autre quête, plus intime, plus secrète, et, durant les années que couvrait le premier volume, presque totalement enfouie sous des apparences d’une vie consacrée à la sensualité ? Pourtant, déjà, à la fin de ce premier volume, comme je l’avais fait remarquer dans le long article que j’avais fait paraître sur mon blog, l’on pressentait, l’on devinait, si l’on était attentif, qu’une autre aspiration demeurait au profond de l’homme, comme une étincelle qui n’avait pas besoin de grand-chose pour devenir un feu.
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L'évaluation suivante exprime quel sentiment ? EvaluationDepuis sa mort en 1998, Julien Green semble avoir rejoint le purgatoire des écrivains. Un lieu qui, par définition, ne retient pas pour toujours ses résidents mais qui peut cependant les y garder longtemps, très longtemps. Certes, la parution du premier volume du Journal Intégral du grand écrivain, dont le texte était resté, en grande partie, inédit, a provoqué, lors de sa parution en 2019, quelques frémissements étonnés, si ce n’est scandalisés ou même moqueurs. Quoi ! Ce romancier à qui l’on accolait si volontiers l’étiquette de catholique avait mené, pendant des années, une vie de plaisir effrénée, insatiable, qu’il décrivait abondamment et au moyen des termes les plus directs, les plus crus ! On pouvait être éberlué, on pouvait même se gausser, mais prenait-on vraiment en compte la vérité d’un homme, de cet homme, Julien Green. Ne percevait-on pas que, même au plus fort de la recherche immodérée des plaisirs avec des quantités d’hommes de rencontre, il demeurait un espace pour une autre quête, plus intime, plus secrète, et, durant les années que couvrait le premier volume, presque totalement enfouie sous des apparences d’une vie consacrée à la sensualité ? Pourtant, déjà, à la fin de ce premier volume, comme je l’avais fait remarquer dans le long article que j’avais fait paraître sur mon blog, l’on pressentait, l’on devinait, si l’on était attentif, qu’une autre aspiration demeurait au profond de l’homme, comme une étincelle qui n’avait pas besoin de grand-chose pour devenir un feu.
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Commentaire : "Geoffroy de Pennart est un auteur-illustrateur de littérature d'enfance et de jeunesse, né en 1951 à Neuilly-sur-Seine. Son personnage récurrent est un loup qui apparaît dans une douzaine de ses albums. Geoffroy de Pennart le présente, avec des personnalités changeantes." Le commentaire est-il positif ou négatif ?
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Avis : " Geoffroy de Pennart est un auteur-illustrateur de littérature d'enfance et de jeunesse, né en 1951 à Neuilly-sur-Seine. Son personnage récurrent est un loup qui apparaît dans une douzaine de ses albums. Geoffroy de Pennart le présente, avec des personnalités changeantes. " L'avis est-il positif ou négatif ?
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Critique : "Geoffroy de Pennart est un auteur-illustrateur de littérature d'enfance et de jeunesse, né en 1951 à Neuilly-sur-Seine. Son personnage récurrent est un loup qui apparaît dans une douzaine de ses albums. Geoffroy de Pennart le présente, avec des personnalités changeantes." La critique est-elle positive ou négative ?
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Evaluation : " Geoffroy de Pennart est un auteur-illustrateur de littérature d'enfance et de jeunesse, né en 1951 à Neuilly-sur-Seine. Son personnage récurrent est un loup qui apparaît dans une douzaine de ses albums. Geoffroy de Pennart le présente, avec des personnalités changeantes. " L'évaluation est-elle positive ou négative ?
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Ce commentaire sur le produit est-il positif ou négatif ? Commentaire : "Geoffroy de Pennart est un auteur-illustrateur de littérature d'enfance et de jeunesse, né en 1951 à Neuilly-sur-Seine. Son personnage récurrent est un loup qui apparaît dans une douzaine de ses albums. Geoffroy de Pennart le présente, avec des personnalités changeantes." Réponse :
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Cet avis sur le produit est-il positif ou négatif ? Avis : "Geoffroy de Pennart est un auteur-illustrateur de littérature d'enfance et de jeunesse, né en 1951 à Neuilly-sur-Seine. Son personnage récurrent est un loup qui apparaît dans une douzaine de ses albums. Geoffroy de Pennart le présente, avec des personnalités changeantes." Réponse :
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Cette critique sur le produit est-elle positive ou négative ? Critique : "Geoffroy de Pennart est un auteur-illustrateur de littérature d'enfance et de jeunesse, né en 1951 à Neuilly-sur-Seine. Son personnage récurrent est un loup qui apparaît dans une douzaine de ses albums. Geoffroy de Pennart le présente, avec des personnalités changeantes." Réponse :
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Cette évaluation sur le produit est-elle positive ou négative ? Evaluation : "Geoffroy de Pennart est un auteur-illustrateur de littérature d'enfance et de jeunesse, né en 1951 à Neuilly-sur-Seine. Son personnage récurrent est un loup qui apparaît dans une douzaine de ses albums. Geoffroy de Pennart le présente, avec des personnalités changeantes." Réponse :
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Commentaire : "Geoffroy de Pennart est un auteur-illustrateur de littérature d'enfance et de jeunesse, né en 1951 à Neuilly-sur-Seine. Son personnage récurrent est un loup qui apparaît dans une douzaine de ses albums. Geoffroy de Pennart le présente, avec des personnalités changeantes." Ce commentaire sur le produit exprime-t-il un sentiment négatif ou positif ?
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Avis : "Geoffroy de Pennart est un auteur-illustrateur de littérature d'enfance et de jeunesse, né en 1951 à Neuilly-sur-Seine. Son personnage récurrent est un loup qui apparaît dans une douzaine de ses albums. Geoffroy de Pennart le présente, avec des personnalités changeantes." Cet avis sur le produit exprime-t-il un sentiment négatif ou positif ?
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Critique : "Geoffroy de Pennart est un auteur-illustrateur de littérature d'enfance et de jeunesse, né en 1951 à Neuilly-sur-Seine. Son personnage récurrent est un loup qui apparaît dans une douzaine de ses albums. Geoffroy de Pennart le présente, avec des personnalités changeantes." Cette critique sur le produit exprime-t-il un sentiment négatif ou positif ?
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Evaluation : "Geoffroy de Pennart est un auteur-illustrateur de littérature d'enfance et de jeunesse, né en 1951 à Neuilly-sur-Seine. Son personnage récurrent est un loup qui apparaît dans une douzaine de ses albums. Geoffroy de Pennart le présente, avec des personnalités changeantes." Cette évaluation sur le produit exprime-t-il un sentiment négatif ou positif ?
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Ce commentaire sur le produit a-t-il un ton négatif ou positif ? Commentaire : "Geoffroy de Pennart est un auteur-illustrateur de littérature d'enfance et de jeunesse, né en 1951 à Neuilly-sur-Seine. Son personnage récurrent est un loup qui apparaît dans une douzaine de ses albums. Geoffroy de Pennart le présente, avec des personnalités changeantes." Réponse :
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Cet avis sur le produit a-t-il un ton négatif ou positif ? Avis : "Geoffroy de Pennart est un auteur-illustrateur de littérature d'enfance et de jeunesse, né en 1951 à Neuilly-sur-Seine. Son personnage récurrent est un loup qui apparaît dans une douzaine de ses albums. Geoffroy de Pennart le présente, avec des personnalités changeantes." Réponse :
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Cette critique sur le produit a-t-il un ton négatif ou positif ? Evaluation : "Geoffroy de Pennart est un auteur-illustrateur de littérature d'enfance et de jeunesse, né en 1951 à Neuilly-sur-Seine. Son personnage récurrent est un loup qui apparaît dans une douzaine de ses albums. Geoffroy de Pennart le présente, avec des personnalités changeantes." Réponse :
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Cette évaluation sur le produit a-t-il un ton négatif ou positif ? Avis : "Geoffroy de Pennart est un auteur-illustrateur de littérature d'enfance et de jeunesse, né en 1951 à Neuilly-sur-Seine. Son personnage récurrent est un loup qui apparaît dans une douzaine de ses albums. Geoffroy de Pennart le présente, avec des personnalités changeantes." Réponse :
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