diff --git "a/data/part_4/08189ddc495124922ef5fab632cc5a4c.json" "b/data/part_4/08189ddc495124922ef5fab632cc5a4c.json" new file mode 100644--- /dev/null +++ "b/data/part_4/08189ddc495124922ef5fab632cc5a4c.json" @@ -0,0 +1 @@ +{"metadata":{"id":"08189ddc495124922ef5fab632cc5a4c","source":"gardian_index","url":"https://cgspace.cgiar.org/rest/bitstreams/05e0e407-82a3-436d-bbf4-1f30ebd9d9ec/retrieve"},"pageCount":72,"title":"","keywords":[],"chapters":[{"head":"Contexte","index":1,"paragraphs":[{"index":1,"size":314,"text":"La malnutrition est reconnue comme la menace la plus importante pour la survie des enfants, et comme étant responsable de 45% de la mortalité infantile dans le monde chaque année 1 . La mauvaise alimentation occasionne aussi une perte de 11% du potentiel de productivité économique des pays d'Afrique et d'Asie, ayant un fort impact dans le développent cognitif des enfants et la capacité de travail des adultes. La région du Sahel 2 présente un des taux de mortalité infantile (enfant de moins de 5 ans) les plus élevés du monde avec le Burkina, le Mali, le Niger et le Tchad parmi les 15 pays les plus touchés. La malnutrition reste au-dessus des seuils d'urgence même dans les années de bonne production, avec des taux de malnutrition aigüe globale entre 9% au Mali et 18% au Tchad. Les taux de retard de croissance varient entre 23% en Mauritanie et 44 % au Niger 3 . Avec l'actuelle croissance démographique en Afrique, les nombres absolus augmentent chaque année. De plus, les crises (comme les sécheresses, la hausse des prix et les conflits) se succèdent dans la région et la pauvreté ainsi que le manque d'accès à l'eau potable et aux services de santé sont quelques-uns des défis qui détériorent aussi l'état nutritionnel dans la région. Ce constat contraste avec le fait que le Sahel est une région riche en production de bétail, qui représente en moyenne 40% du PIB agricole (80% dans le cas de la Mauritanie) 4 . Au Niger par exemple, 79% des ménages élèvent des animaux 5 . L'élevage joue donc un rôle clé en tant que source de revenus pour la majorité des foyers. Les produits animaux représentent aussi une source de protéines de très bonne qualité et fournissent des micronutriments essentiels à la nutrition humaine (ex. fer, calcium, vitamine B12, zinc, etc.) d'une plus haute biodisponibilité que ceux d'origine végétale."},{"index":2,"size":261,"text":"Dans une zone où la production végétale est limitée tandis que le bétail est abondant, les produits d'origine animale ont un énorme potentiel pour diversifier les régimes alimentaires et combattre la malnutrition et la pauvreté. Toutefois, les projets d'élevage et de nutrition humaine ont souvent été déconnectés. La majorité des interventions dans l'élevage au Sahel a été destinée à améliorer la production (ex. augmenter la production animale, éviter les maladies et diminuer la mortalité des animaux à l'aide de la vaccination ou l'utilisation de races bien adaptées au milieu sahélien) ou à sauvegarder les moyens d'existence. Ces projets ne cherchaient pas souvent à identifier de synergies entre l'élevage et l'état nutritionnel des ménages pauvres. En outre, des expériences concrètes ont démontré qu'une amélioration de la production ne se traduit pas nécessairement par une augmentation de la consommation, et peut même résulter en une diminution, quand l'autoconsommation est remplacée par la vente par exemple. Le fait que les animaux soient gardés pour des raisons autres que la consommation et les revenus (par exemple pour l'épargne, l'assurance ou l'échange social) complique encore plus la compréhension des liens avec la nutrition humaine, dont les interventions se basent plus souvent sur la production végétale. Une meilleure connaissance des voies par lesquelles l'élevage peut contribuer à réduire la malnutrition (chemins d'impact) est fondamentale pour la capitalisation du potentiel du bétail. Pour maximiser l'impact nutritionnel, les interventions en élevage devraient être conçues avec une approche « sensible » à la nutrition et la nutrition considérée comme un point d'entrée pour les programmes de renforcement de la résilience."},{"index":3,"size":207,"text":"L'engagement politique pour la nutrition est illustré par le nombre croissant de pays adhérant au Mouvement de Renforcement de la Nutrition (SUN: Scaling Up Nutrition 6 ). Les initiatives d'amélioration de la résilience (ex. AGIR) priorisent aussi l'amélioration de la nutrition. Toutefois des efforts importants sont encore nécessaires pour établir avec succès des synergies opérationnelles 5 entre la nutrition et les interventions en élevage, et pour formuler des stratégies intégrées pour réduire la malnutrition 7 . Le succès de ces programmes nécessite une compréhension, un langage commun et une approche partagée entre experts de la production animale et de la nutrition, ainsi que des capacités sur le terrain pour planifier de manière multisectorielle et mesurer les effets des interventions conjointes. Afin de répondre à ces besoins, le Bureau Régional de la FAO pour la résilience, les urgences et la réhabilitation en Afrique de l'Ouest/Sahel (REOWA) a organisé en étroite collaboration avec l'Ecole vétérinaire de Londres (RVC), l'Institut internationale de recherche sur l'élevage (ILRI) et les institutions humanitaires travaillant dans l'élevage et la nutrition, un Atelier Régional de Formation pour le Sahel et l'Afrique de l'Ouest, intitulé « Elevage, Moyens d'Existence et Nutrition ». L'atelier s'est déroulé à Dakar, Sénégal, entre le 5 et le 7 novembre 2014."}]},{"head":"Objectif global de l'atelier","index":2,"paragraphs":[{"index":1,"size":49,"text":"Renforcer les capacités du personnel technique des partenaires humanitaires pour mieux intégrer la nutrition dans les programmes d'élevage afin de maximiser les impacts nutritionnels des interventions et de contribuer davantage à la réduction de la malnutrition et à l'amélioration de la résilience au Sahel et en Afrique de l'Ouest."}]},{"head":"1.","index":3,"paragraphs":[{"index":1,"size":24,"text":"Comment le secteur de l'élevage peut-il contribuer à améliorer la nutrition et la prévention de la malnutrition, notamment pour les ménages les plus pauvres/vulnérables?"}]},{"head":"2.","index":4,"paragraphs":[{"index":1,"size":32,"text":"Quelles sont les spécificités nutritionnelles des produits d'origine animale et comment les conserver tout au long de la chaine de valeur? La sélection des candidats a été effectuée de la manière suivante:"},{"index":2,"size":22,"text":"8 OSRO/309/EC 9 Ce programme mis en oeuvre par la FAO dans la Corne de l'Afrique, au Sahel et au niveau mondial."},{"index":3,"size":106,"text":"Quatre (4) pays sont plus spécifiquement ciblés par le projet au Sahel: le Tchad, le Mali, le Niger et le Burkina Faso. Pour plus d'information :http://www.fao.org/in-action/renforcement-descapacites-pour-la-securite-alimentaire/ Un Comité de pilotage (FAO, le RVC/ILRI) a été créé pour faciliter la préparation et le déroulement de l'atelier. Les exercices clés (chemin d'impact et les arbres à problèmes) ont été testés au cours d'une session à Londres avec des personnes du RVC (étudiants de doctorat, chercheurs et enseignants) ainsi qu'avec les facilitateurs de l'atelier. A la fin des deux premiers jours, deux participants ont été invités pour faire un bilan de la journée et échanger éventuelles améliorations à apportées."},{"index":4,"size":134,"text":"Les Animations de l'atelier ont été effectuées par Dr. Paula Dominguez-Salas (RVC / ILRI), Dr. Pablo Alarcon (RVC), Ms. Domitille Kauffmann (FAO) et Mr Christophe Breyne (FAO). Des présentations ont été réalisées par des intervenants extérieurs ainsi que par certains participants à l'atelier lors des différentes sessions. L'agenda et la liste finale des participants à l'atelier se trouvent dans les Annexes 4 et 5 respectivement. o La malnutrition tue chaque année au Sahel près de 577 000 enfants de moins de 5 ans (représente 45% de la mortalité infantile  Activités physiques: La gestion des animaux peut nécessiter un effort physique important (transhumance, etc.). Les besoins nutritionnels pour composer cet effort sont plus élevés que la normale. Si la consommation n'est pas ajustée, ce facteur peut avoir un effet sur la nutrition des ménages."}]},{"head":"SESSIONS DE L'ATELIER Session d'introduction","index":5,"paragraphs":[{"index":1,"size":82,"text":" Assurance: L'élevage, surtout le bétail, a une fonction aussi d'assurance en cas de crises. La vente de bétail offre un accès rapide à une source d'argent liquide qui peut être utilisé pour l'alimentation du ménage ou l'accès aux services de santé. Comme expliqué précédemment, ces facteurs sont liés à la nutrition. Il faut aussi ajouter que le fait d'avoir du bétail peut faciliter l'investissement sur d'autres activités qui peuvent conduire à une augmentation du revenu, et donc à une meilleure nutrition."},{"index":2,"size":75,"text":" Transport: Les animaux (comme les chevaux, ânes, vaches, etc.) peuvent jouer une fonction de transport vital pour les ménages. Le transport peut faciliter l'accès aux marchés, et donc la vente des produits générés par le ménage (augmentation de revenu  nutrition). Le transport peut faciliter l'accès aux ressources comme l'eau, les aliments (pour une alimentation diversifiée), la santé ou l'éducation. Comme expliqué dans le premier point, ces facteurs influent sur la nutrition des ménages."},{"index":3,"size":60,"text":" Mobilité: Quelques types d'éleveurs, comme les transhumants, doivent voyager sur de longues distances à la recherche de nouvelles pâtures et d'eau. Il est fréquent qu'ils se retrouvent dans des endroits où l'accès aux marchés, aux écoles/programmes d'éducations ou aux services de santé ne soit pas possible ou très difficile. Ceci a donc un impact sur la nutrition des ménages."},{"index":4,"size":67,"text":" Traction: Les animaux peuvent être utilisés comme une force de traction qui peut être utile pour le travail du sol et donc pour la production de produits d'origine végétale et ainsi pour l'alimentation des ménages. Quelques personnes peuvent louer leurs animaux pour des activités de traction et donc générer un revenu, ce qui augmente leur pouvoir d'achat avec un effet possible sur la nutrition du ménage."},{"index":5,"size":91,"text":" Fumier: Le fumier généré par le bétail peut être utilisé comme fertilisant pour les champs et peut donc améliorer la production et consommation des produits végétaux (et l'augmentation des revenus lors de la vente de la récolte). Le fumier généré peut aussi être vendu et le revenu utilisé pour améliorer la nutrition du ménage comme expliqué précédemment. Finalement, le fumier peut être utilisé pour la production de biogaz, qui peut permettre une augmentation de revenu ou réduire les dépenses en combustible pour la préparation des aliments produits pour la consommation."}]},{"head":"Facteurs qui influencent les chemins d'impact:","index":6,"paragraphs":[{"index":1,"size":18,"text":"Certains facteurs peuvent influencer l'utilisation d'un ou d'un autre chemin d'impact par les ménages. Les facteurs identifiés sont:"},{"index":2,"size":20,"text":" Facteurs culturels: Les tabous ou coutumes alimentaires. Ces facteurs peuvent réduire l'autoconsommation ou l'achat de produits d'origine animale, etc."},{"index":3,"size":77,"text":" Alimentation du bétail: La faible qualité de l'alimentation ou la difficulté d'accès à une bonne alimentation pour le bétail peut réduire la productivité des animaux et faciliter l'apparition des maladies et une augmentation de la mortalité du troupeau. Une réduction des animaux ou de la production peut faire que le ménage priorise la vente des produits et réduise l'autoconsommation. Le ménage peut décider de faire la transhumance, et donc les chemins lies à la mobilité augmentent."},{"index":4,"size":35,"text":" Biofortification: Une alimentation enrichie pour le bétail (ex. alimentation des animaux avec les feuilles des patates douces enrichies en vitamine A) peut avoir un impact sur la qualité nutritionnelle des aliments produits d'origine animale."},{"index":5,"size":43,"text":" Maladies animales: Les maladies animales peuvent réduire la production, la taille du troupeau et augmenter les dépenses du ménage pour les soins des animaux. Cela peut influencer les chemins d'impact utilisés par le ménage de la même manière que l'alimentation du bétail."},{"index":6,"size":41,"text":" Conservation: La connaissance, l'accès et l'utilisation des techniques de conservation peuvent influencer les ménages à augmenter l'autoconsommation, car ils augmentent le temps de vie des produits. Ça peut aussi augmenter la vente des produits et donc le revenu du ménage."},{"index":7,"size":23,"text":" Saisonnalité: Ceci peut affecter la transhumance qui est lié à la période sèche, l'autoconsommation qui peut être liée aux jours festifs, etc."},{"index":8,"size":59,"text":"L'exercice a été bien compris et appliqué par les participants. Plusieurs participants ont pu comprendre que l'élevage peut affecter la nutrition de beaucoup de manières auxquelles ils n'avaient pas pensé. Un exemple classique est l'activité physique ou l'emploi du temps, que les participants du coté élevage n'avait pas considéré. Les figures préparées par les équipes sont en Annexe 7."},{"index":9,"size":21,"text":"Exercice de groupe: Identifier comment une crise donnée peut créer une situation de malnutrition, pour un moyen d'existence sur l'élevage donné."},{"index":10,"size":44,"text":"L'objectif de cet exercice était de faire réfléchir les participants sur les possibles problèmes qui existent dans les chemins d'impact et qui peuvent causer des problèmes de malnutrition dans diffèrentes situations d'urgence. Pour cela, les participants ont été divisés selon les quatre groupes suivants:"},{"index":11,"size":44,"text":" Groupe 1: Pastoraux dans une situation de conflit.  Groupe 2: Agropasteurs dans une situation de sècheresse.  Groupe 3: Petits producteurs de volaille dans une situation de crise épidémique animale.  Groupe 4: Ménages sans élevage dans une situation de crise économique."},{"index":12,"size":58,"text":"Pour cet exercice, les participants devaient utiliser le diagramme de chemin d'impact et les connaissances générées pour pouvoir identifier le problème existant. Il fallait tenir compte du fait qu'en fonction du type de moyens d'existence lié à l'élevage et des différentes situations d'urgence proposées, des chemins particuliers étaient plus importants alors que d'autres n'étaient pas du tout pertinents."}]},{"head":"Les résultats du groupe 1 -Pastoraux dans une situation de conflit:","index":7,"paragraphs":[{"index":1,"size":24,"text":" Les participants ont identifié que deux scénarios possibles peuvent résulter d'une situation de conflit, ceci en fonction du type de conflit considéré :"},{"index":2,"size":19,"text":"o Les pastoraux peuvent être forcés « d'accélérer le déplacement » (une migration massive du ménage et du troupeau)."},{"index":3,"size":13,"text":"o Les pastoraux peuvent être forcés �� une situation d' « immobilité »."},{"index":4,"size":100,"text":" Dans les deux situations, il y aura un problème de « dysfonctionnement des marchés ». Les ménages ne pourront pas vendre leurs animaux/produits (« réduction des ventes »). Ils auront donc une « réduction de revenu » et par conséquence une diminution de pouvoir d'achat des produits alimentaires » qui peut aboutir à une situation de malnutrition. Dans une situation d'immobilité, il y aura une « réduction de la disponibilité de la viande et du lait sur les marchés » et « une réduction de l'accès aux céréales ». Ceci peut mener le ménage à une situation de malnutrition."},{"index":5,"size":85,"text":" Dans une situation d'immobilité, les problèmes suivants ont été identifiés: o Une « inaccessibilité aux ressources pastorales ». Les pasteurs ne peuvent pas se déplacer pour trouver de nouvelles pâtures et de l'eau. Ceci conduit à une « sousalimentation des animaux » et donc à une « baisse de la production ». La baisse de la production a comme conséquence une réduction de l'autoconsommation de produits animaux, et une baisse de revenu. Ces deux facteurs peuvent aboutir à une situation de malnutrition des ménages."},{"index":6,"size":60,"text":"o Une « réduction des services de base ». Les éleveurs ne peuvent pas avoir accès aux vétérinaires / techniques de santé animale, aux médicaments, aux soins pour les personnes du ménage, à l'éduction, etc. Les « maladies animales » peuvent devenir plus problématiques et engendrer « une baisse de la production », et donc à une situation de malnutrition."},{"index":7,"size":50,"text":" Dans une situation de l'accélération de la mobilité, les problèmes suivants ont été identifiés: o « Insécurité / Vol de bétail ». Ceci contribue à une réduction des revenus et une réduction de la disponibilité des produits sur les marchés, et donc peut conduire à une situation de malnutrition."},{"index":8,"size":68,"text":"o « Accouchement avant le terme » et une « augmentation des naissances prématurées » des femmes. Ceci est lié à l'élevage par le fait que le déplacement massif peut être fait pour protéger les animaux. Les besoins nutritionnels et les problèmes de santé augmentent. En conséquence, il peut y avoir une « baisse des soins aux enfants ». Tout cela peut aboutir à une situation de malnutrition."},{"index":9,"size":33,"text":"o « Traumatisme psychologique » dû aux facteurs mentionnés auparavant (insécurité, accouchement avant terme, etc.). Ce traumatisme peut générer une « réduction des soins aux enfants » et donc une situation de malnutrition."},{"index":10,"size":33,"text":" D'autres problèmes ont été identifiés pour ce groupe comme: o « Diminution de l'emploi » qui est lié à une « baisse de revenu » et donc augmentant le risque de malnutrition."},{"index":11,"size":43,"text":"o « Diminution de l'emploi du temps ». Les parents sont plus occupés avec le troupeau et le conflit, et ne peuvent pas alimenter correctement et prendre soin des enfants et des personnes âgées. Ces groupes peuvent entrer dans une situation de malnutrition."}]},{"head":"Les résultats du groupe 2 -Agropasteurs dans une situation de sécheresse:","index":8,"paragraphs":[{"index":1,"size":11,"text":"Les chemins de problèmes identifiés par les participants étaient les suivants:"},{"index":2,"size":64,"text":" L'insuffisance de pâtures et d'eau pour le bétail résulte dans une diminution de la production. La diminution de la production diminue la disponibilité des produits d'origine animale pour l'autoconsommation dans les ménages et contribue potentiellement à la malnutrition. o Une augmentation du travail des femmes qui peut contribuer à la réduction des soins et de l'alimentation des enfants mais aussi à la malnutrition."},{"index":3,"size":37,"text":" La diminution des produits peut aussi être associée à des problèmes dans les méthodes de transformation et qui contribuent à la réduction des revenues et à une réduction du stockage alimentaire pour la période de soudure."},{"index":4,"size":28,"text":" L'augmentation de la mobilité pour chercher des pâturages est souvent associée à l'augmentation des conflits avec les producteurs agricoles et comme conséquence, à une réduction des revenus."}]},{"head":"Les résultats du groupe 3 -Petit producteur de volaille dans une situation de crise épidémique animale:","index":9,"paragraphs":[{"index":1,"size":8,"text":"Les chemins de problèmes identifiés étaient les suivants:"},{"index":2,"size":33,"text":" Une crise épidémique animale aura comme effet un plus haut taux de mortalité des volailles. Il y aura donc une diminution de la production d'oeufs et de viande qui aura comme conséquences:"},{"index":3,"size":42,"text":"o Une perte de revenu pour l'éleveur, qui devra augmenter les prix des volailles pour compenser. L'éleveur et le public auront donc une perte de pouvoir d'achat et donc, comme expliqué dans les chemins d'impact, peut aboutir à une situation de malnutrition."},{"index":4,"size":28,"text":"o Le fait que les femmes sont normalement les éleveurs de volaille, une réduction de la production peut diminuer leur autonomie. Ceci peut créer une situation de malnutrition."},{"index":5,"size":18,"text":"o Une baisse de l'autoconsommation par les ménages, qui doit donc consommer des produits de faible qualité nutritionnelle."},{"index":6,"size":44,"text":" Une haute mortalité des volailles signifie aussi une réduction de la litière, ce que peut être lié à une diminution de la production agricole. Il y aura donc une baisse de disponibilité des produits végétaux, ce qui peut créer une situation de malnutrition."},{"index":7,"size":37,"text":" L'éleveur devra faire face à une augmentation des coûts vétérinaires pour soigner et contrôler les maladies. Une augmentation des dépenses signifie une baisse de revenu, ce qui peut créer un problème de malnutrition comme expliqué précédemment."},{"index":8,"size":64,"text":" Les maladies animales peuvent créer des maladies humaines, soit par le fait que la maladie soit une zoonose, ou par le fait que les conditions hygiéniques et de salubrité soient plus basses (suite aux volailles mortes). Les humains malades (surtout les éleveurs) peuvent aussi contaminer la viande et les oeufs, et donc générer encore plus de malades. Tout ça aura comme conséquences que:"},{"index":9,"size":24,"text":"o Il y aura une augmentation importante des coûts des soins, ce qui baissera les revenus et donc peut créer une situation de malnutrition."},{"index":10,"size":31,"text":"o Il y aura une réduction de la force de travail, ce qui aussi diminuera les revenus des ménages et la production agricole. Un problème de malnutrition peut donc être créé."},{"index":11,"size":13,"text":"o Les maladies auront un impact direct sur les besoins nutritionnels des personnes."}]},{"head":"Les résultats du groupe 4 -Ménages sans élevage dans une situation de crise économique:","index":10,"paragraphs":[{"index":1,"size":42,"text":"Les chemins de problèmes identifiés étaient les suivants:  Montrer comment l'impact nutritionnel (quels indicateurs ?) a été mesuré.  Montrer les principaux succès, défis rencontrés et leçons apprises (sur la programmation multisectorielle et l'intégration de la nutrition humaine et de l'élevage)."},{"index":2,"size":19,"text":" Optionnellement, finir par une diapositive avec des questions non résolues à proposer aux participants pour ouvrir la discussion."},{"index":3,"size":19,"text":"Il a été demandé aux participants de relever dans les présentations les points de débat relatifs aux questions suivantes:"},{"index":4,"size":31,"text":" Question 1: Quels sont les éléments dans la conception du projet qui maximisent son impact nutritionnel (ex. chemins d'impact, stratégies de ciblage, mécanismes de coordination, composante nutritionnelle, degré d'intégration, etc.)? "}]},{"head":"Question 2: Les projets présentent-ils des éléments innovants (autres que ceux précédemment discutés) qui mériteraient selon vous d'être soulignés?","index":11,"paragraphs":[{"index":1,"size":30,"text":" Technologies de préservation/conservation de la valeur nutritive des produits lors des processus de transformation. Les participants ont néanmoins attiré l'attention sur le fait que cet aspect doit encore progresser."},{"index":2,"size":75,"text":" L'utilisation de l'acide citrique et des emballages pour la conservation de la viande.  L'utilisation du lait de chèvre.  Quelques méthodes de mise en action des interventions été considérées innovantes.  L'existence des programmes de suivis zootechniques (sur la performance de la production animale, maladies, prix des produits, etc.) qui incluent aussi des données de gestion culinaire (ZAK).  Garderie communautaire comme solution pour les soins aux enfants pendant le travail des femmes."},{"index":3,"size":17,"text":" Si les femmes commencent à gagner de l'argent, cela peut créer une tension dans les ménages."},{"index":4,"size":26,"text":" Les femmes ne peuvent pas faire des activités liées à l'abattage (tabous/culture), mais elles peuvent aider les hommes dans des activités de transformation des aliments."},{"index":5,"size":18,"text":" Les femmes ne bénéficient pas de la même information que les hommes. Ceci réduit l'efficacité des interventions."},{"index":6,"size":34,"text":" Un problème identifié porte sur les questions de genre qui se réduisent presque toujours à un problème des femmes. L'homme doit être un acteur actif du ménage. Il faut sensibiliser aussi les hommes."},{"index":7,"size":36,"text":" Risque de surcharge de travail, spécialement pour les femmes. Le temps des femmes est un facteur à considérer. Il faut réduire la pénibilité des tâches qu'elles ont à faire pour qu'elles puissent s'occuper des enfants."},{"index":8,"size":27,"text":" Il faut aussi tenir en compte des personnes âgées. Elles ne sont normalement jamais les cibles des programmes nutritionnels. C'est toujours les enfants et les femmes."},{"index":9,"size":10,"text":"Beaucoup des commentaires sont aussi pertinents pour la question 4."}]},{"head":"Question 4: Comment les tabous et les questions de genre sont-elles prises en compte dans les projets?","index":12,"paragraphs":[{"index":1,"size":45,"text":" Il y a beaucoup de tabous sur les oeufs. Les femmes décident d'élever un « type d'enfant » (par exemple, un enfant qui ne soit pas un voleur). Il faut faire une sensibilisation des hommes, femmes et enfants pour qu'ils puissent manger les oeufs."},{"index":2,"size":30,"text":" Il faut faire une sensibilisation des ménages pour qu'ils puissent connaitre les bonnes pratiques de consommation et les bonnes méthodes de préparation des produits pour s'assurer une bonne nutrition."},{"index":3,"size":18,"text":" Besoin de comprendre et d'intégrer les pratiques alimentaires existantes pour pouvoir réussir à faire une sensibilisation appropriée."}]},{"head":"Session 4: Interventions (II) -Analyse des solutions et conception de projet","index":13,"paragraphs":[{"index":1,"size":29,"text":"Cette session a commencé par deux présentations:  Veiller à avoir une proposition d'intervention avec un objectif nutritionnel clair (le but de l'intervention doit être lié à la nutrition)."},{"index":2,"size":18,"text":" Identifier quelles sont les informations préalables (analyse de la situation nécessaires pour concevoir et dimensionner cette intervention)"},{"index":3,"size":46,"text":" Décrire les activités et l'approche de l'intervention pour s'assurer d'un impact nutritionnel le plus direct possible Pour une discussion efficace, les facilitateurs ont demandé aux participants de se focaliser sur les activités qu'il faudrait ajouter dans une intervention en élevage pour maximiser leur impact nutritionnel."}]},{"head":"Résultats du Groupe 1 (Pastoraux dans une situation de conflit)","index":14,"paragraphs":[{"index":1,"size":59,"text":"Le groupe avait décidé de mettre en oeuvre une intervention de déstockage stratégique dans une situation de conflit où les pasteurs ne peuvent pas bouger (immobilité). Cette intervention a comme objectif principal de préserver les moyens d'existence. Pour cet exercice, un objectif nutritionnel a été ajouté: « Prévenir la dégradation du statut nutritionnel des ménages » (voir Figure 7)."},{"index":2,"size":16,"text":"Les informations nécessaires à recueillir avant de mettre en oeuvre cette intervention étaient (en ordre d'importance): "}]},{"head":"Résultats du Groupe 3 (Petits producteurs de volaille)","index":15,"paragraphs":[{"index":1,"size":37,"text":"Ce groupe a choisi comme intervention « la reconstitution du cheptel aviaire ». L'objectif nutritionnel était « l'amélioration et la diversification de la production avicole pour augmenter/ améliorer la qualité de la consommation » (voir Figure 9)."},{"index":2,"size":13,"text":"Les informations nécessaires à recueillir avant de mettre en oeuvre cette intervention étaient: "}]},{"head":"Résultats du Groupe 4 (Ménages sans élevage)","index":16,"paragraphs":[{"index":1,"size":52,"text":"Ce groupe a décidé de se focaliser sur une intervention de « mise en place d'unité de transformation et de commercialisation du lait » (voir Figure 10). Pour maximiser l'impact nutritionnel de cette intervention les points suivants ont été identifiés:  Les produits transformés devraient être distribués dans des écoles/garderies/centres de santé."},{"index":2,"size":20,"text":" Ciblage de zones où il n'y a pas beaucoup de commercialisation et des ménages pauvres avec des enfants malnutris."},{"index":3,"size":35,"text":" Réserver une partie de la production pour les fournisseurs (lien avec les pastoraux).  Sensibilisation à l'importance de l'autoconsommation  Accompagnement avec des stratégies de réduction de la charge des femmes (garderies, garde tournantes)."},{"index":4,"size":46,"text":" Sensibilisation des hommes.  Techniques de transformation qui préservent les propriétés nutritionnelles  Produits adaptés aux préférences et aux habitudes locales  Enrichissement des produits en fonction des carences présentes dans la population.  Produits adaptés à l'alimentation complémentaire  Marketing et conditionnement des produits "}]},{"head":"NOTE CONCEPTUELLE","index":17,"paragraphs":[]},{"head":"Pourquoi cet atelier ?","index":18,"paragraphs":[{"index":1,"size":31,"text":"La malnutrition est reconnue comme la menace la plus importante pour la survie des enfants, et comme étant responsable de 45% de la mortalité infantile dans le monde chaque année 11 "}]},{"head":"Objectifs et méthodologie de l'atelier","index":19,"paragraphs":[{"index":1,"size":72,"text":"Afin de répondre à ces besoins, le Bureau Régional de la FAO pour la résilience, les urgences et la réhabilitation en Afrique de l'Ouest/Sahel (REOWA) organise en étroite collaboration avec l'Ecole Vétérinaire de Londres (RVC), l'Institut internationale de recherche sur l'élevage (ILRI) et les institutions humanitaires travaillant dans l'élevage et la nutrition, un Atelier Régional de Formation pour le Sahel et l'Afrique de l'Ouest, intitulé « Elevage, Moyens d'Existence et Nutrition »."},{"index":2,"size":28,"text":"Six pays sont spécifiquement ciblés par l'atelier au Sahel et en Afrique de l'Ouest: le Burkina Faso, la Mauritanie, le Mali, le Niger, le Sénégal et le Tchad."}]},{"head":"Objectif global de l'Atelier :","index":20,"paragraphs":[{"index":1,"size":49,"text":"Renforcer les capacités du personnel technique des partenaires humanitaires pour mieux intégrer la nutrition dans les programmes d'élevage afin de maximiser les impacts nutritionnels des interventions et de contribuer davantage à la réduction de la malnutrition et à l'amélioration de la résilience au Sahel et en Afrique de l'Ouest."}]},{"head":"Objectifs spécifiques et résultats attendus de l'atelier:","index":21,"paragraphs":[{"index":1,"size":19,"text":"Plus spécifiquement, l'atelier cherche à réunir le personnel technique des domaines de l'élevage et de la nutrition afin de:"},{"index":2,"size":53,"text":"1) promouvoir et renforcer le dialogue et assurer une compréhension commune et partagée du rôle du bétail et des produits d'origine animale dans la sécurité alimentaire et nutritionnelle et des indicateurs pour mesurer l'impact, ainsi qu'identifier les opportunités de collaboration opérationnelle entre secteurs pour contribuer plus efficacement à la réduction de la malnutrition;"},{"index":3,"size":33,"text":"2) capitaliser et diffuser les expériences et les connaissances techniques, ainsi que les bonnes pratiques pour la conception, la mise en oeuvre, le suivi et l'évaluation de programmes intégrés de nutrition et d'élevage."}]},{"head":"Contenu et méthodologie de l'atelier:","index":22,"paragraphs":[{"index":1,"size":73,"text":"Pour atteindre ces objectifs, l'atelier de trois jours sera très participatif et alternera entre présentations techniques en séances plénières et travaux de groupes. Du fait de la nature progressive de l'atelier, les participants sont encouragés à assister à la totalité des activités et à participer activement. L'accent sera mis sur la maximisation des échanges d'expériences et sur le partage des connaissances techniques et des conseils pratiques afin que tous les participants puissent :"},{"index":2,"size":91,"text":" avoir une même compréhension de la terminologie, des concepts de base et des outils (malnutrition, sécurité alimentaire, élevage, chaines de valeur et résilience), ainsi qu'une vision partagée de la problématique, des besoins et des défis régionaux ;  discuter des interventions implémentées dans la région et des leçons apprises (de «ce qui a fonctionné » et de « ce qui a moins fonctionné ») à partir de diverses expériences;  réfléchir ensemble et expérimenter concrètement via des travaux de groupe l'élaboration de chemins d'impacts et la planification et évaluation conjointe."},{"index":3,"size":44,"text":"Chaque participant recevra une documentation complète de l'atelier sur clé USB incluant : i) les présentations faites par les praticiens de terrain et les experts techniques lors de l'atelier; ii) un ensemble de documents et ressources pertinentes pour aller plus loin sur le sujet."},{"index":4,"size":50,"text":"Afin de maintenir l'atelier de formation très interactif et de permettre des sessions de travail en groupe, l'atelier sera limité à 40-50 participants. La participation à cet atelier se fera donc uniquement sur invitation après sélection des dossiers de candidature (cf. section « Processus de sélection des participants», page 4)"}]},{"head":"Processus de la préparation de l'Atelier Régional de Formation","index":23,"paragraphs":[{"index":1,"size":49,"text":"Cet Atelier Régional de Formation est organisé dans le cadre d'un projet financé par ECHO et mis en oeuvre par le Bureau régional de la FAO pour la résilience, des urgences et de la réhabilitation en l'Afrique de l'Ouest et au Sahel, avec l'appui technique du RVC et d'ILRI."},{"index":2,"size":55,"text":"Pour la préparation de cet atelier, une large consultation des acteurs dans la région du Sahel et de l'Afrique de l'Ouest ainsi qu'une revenue documentaire ont été réalisées. La préparation de cet atelier est aussi soutenue par un Comité de Pilotage, impliquant des experts de la nutrition et de l'élevage au sein des organisations partenaires."},{"index":3,"size":63,"text":"Cet atelier s'inscrit de plus dans une dynamique plus large portée par la FAO et ses partenaires, avec le soutien d'ECHO, pour renforcer les capacités des acteurs afin de maximiser l'impact nutritionnel des projets de sécurité alimentaires. Il fait entre autres suite à un premier atelier régional organisé en juin 2014 à Saly. Pour en savoir plus:http://www.fao.org/in-action/renforcement-des-capacites-pour-la-securitealimentaire/evenements/detail/fr/c/218855/ Annexe 4 : Agenda de l'atelier"},{"index":4,"size":15,"text":"Photo : Traite des chèvres dans le district de Ségou, Mali (Crédit: ILRI/Valentin Bognan Koné)"}]},{"head":"Agenda aperçu","index":24,"paragraphs":[]},{"head":"Processus et contenu de l'atelier","index":25,"paragraphs":[{"index":1,"size":54,"text":"Pour atteindre ces objectifs, l'atelier alternera entre des séances plénières et des travaux de groupe. L'accent sera mis sur la maximisation des échanges d'expériences et sur le partage des connaissances techniques et des conseils pratiques afin que tous les participants issus à la fois de la nutrition, de la sécurité alimentaire et de l'élevage:"},{"index":2,"size":62,"text":" aient une même compréhension des concepts de base (malnutrition, sécurité alimentaire, les moyens d'existences sur l'élevage et résilience) et une vision partagée de la situation et des défis dans la région ;  apprennent des expériences pratiques de la région/ pays (de «ce qui a fonctionné » et de « ce qui a moins fonctionné ») sur divers sujets techniques ;"},{"index":3,"size":35,"text":" expérimentent concrètement, via des travaux en groupe, une méthodologie pour la planification conjointe (exercice de planification participative « S'accorder sur les causes de la malnutrition et les chemins d'impacts pour une action commune »)."},{"index":4,"size":16,"text":"L'atelier sera animé par une équipe de facilitateurs, avec des experts techniques pour des sessions spécifiques."},{"index":5,"size":8,"text":"L'atelier est organisé autour de 6 sessions principales:"},{"index":6,"size":48,"text":" Session 1 \"Concepts de base et contexte\": Cette section a comme but faire connaitre aux participants provenant de différents secteurs les concepts fondamentaux sur la nutrition, la sécurité alimentaire et les moyens d'existence sur l'élevage. Elle permettra aussi aux Atelier Régional Afrique de l'Ouest et Sahel :"}]},{"head":"Elevage, Moyens d'Existence et Nutrition Humaine","index":26,"paragraphs":[{"index":1,"size":30,"text":"participants d'identifier quels sont les produits animaux consommés par les différents moyens d'existence et quels sont les bonnes/mauvaises pratiques et les obstacles culturels associés à la consommation de ces produits."},{"index":2,"size":106,"text":" Session 2 \"Analyse de la situation\": Cette session permettra de mieux comprendre les différents chemins à travers lesquels l'élevage peut avoir un impact sur la nutrition des ménages. Elle permettra d'identifier quels sont les différents problèmes existant dans les « chemins d'impacts », dans des situations de crise et qui peuvent causer des problèmes de malnutrition. Les participants auront l'occasion d'identifier quels sont les problèmes liés à la conservation des nutriments des produits animaux. Cette section permettra également aux participants de partager leurs expériences sur le lien existant entre la nutrition des ménages et l'élevage, et discuter les problèmes principaux liés à la malnutrition. . "}]}],"figures":[{"text":"LFigure 1 .Session 1 :o Figure 1. Pensez-vous qu'il soit important d'intégrer la nutrition dans les interventions d'élevage (par rapport à d'autres priorités) ? "},{"text":"Figure 3 .Figure 4 .Figure 5 .Figure 6 .Session 3 : Figure 3. Chemin de problèmes / solutions du groupe 1 (Les cartes jaune indiquent les problèmes et les cartes rose les solutions) "},{"text":"L 'approche de l'intervention considérée est la suivante:  Il faut faire une étude de formation pour sensibiliser à la population sur l'intervention. Il faut créer une stratégie communautaire.  Il faut mettre en place une équipe d'accompagnement.  Formation de l'équipe.  Développement d'une épargne mobile / Mettre en place un system d'épargne.  Education nutritionnelle et démonstration culinaire.  Dépistage et PECMA (programme de Prise En Charge de la Malnutrition Aigüe).  Contrôle sanitaire des animaux (avant et après le déstockage). Préservation\\conservation des produits déstockés. "},{"text":"Figure 7 . Figure 7. Intervention du Groupe 1 "},{"text":" Identification des carences et catégorisation des groupes vulnérables.  Identification des habitudes alimentaires et des tabous.  Analyse du niveau de couverture.  Dynamique des carences dans le temps et l'espace.  Pratiques de production avicole.  Environnent politique et économique.  Rôle des femmes, hommes et enfants dans la conduite agricole. L'approche de l'intervention était la suivante:  Promotion de la consommation en général et des produits animaux en particulier.  Renforcement de l'accès au service de santé animale.  Amélioration technique de la production (distribution de volailles, habitat, alimentation).  Promotion de l'autoconsommation.  Promotion de la commercialisation: o Faciliter l'accès aux marchés. o Structuration de la production.  Vulgarisation des techniques d'agriculture/élevage.  Mise en place des mécanismes de filets sociaux. "},{"text":"Figure 9 . Figure 9. Intervention du Groupe 3 "},{"text":"Figure 10 . Figure 10. Intervention du Groupe 4 "},{"text":" . La mauvaise alimentation occasionne aussi une perte de 11% du potentiel de productivité économique des pays d'Afrique et d'Asie, ayant un fort impact dans le développent cognitif des enfants et la capacité de travail des adultes. La région du Sahel 12 présente le taux de mortalité des enfants de moins de 5 ans parmi les plus élevés du monde avec le Burkina, le Mali, le Niger et le Tchad parmi les 15 pays les plus touchés. La malnutrition reste au-dessus des seuils d'urgence même dans les années de bonne production, avec des taux de malnutrition aigüe globale entre 9% au Mali et 18% au Tchad. Les taux de retard de croissance varient entre 23% en Mauritanie et 44 % au Niger 13 . Avec l'actuelle croissance démographique en Afrique, les nombres absolus augmentent chaque année. De plus, les chocs (sècheresses, hausse des prix, conflits) se succèdent dans la région et la pauvreté ainsi que le manque d'accès à l'eau potable et aux services de santé sont quelques-uns des défis qui détériorent l'état nutritionnel dans la région. Ce constat contraste avec le fait que le Sahel est une région riche en production de bétail, qui représente en moyenne 40% du PIB agricole (80% dans le cas de la Mauritanie)14 . Au Niger par exemple, 79% des ménages gardent des animaux 15 . L'élevage joue donc un rôle clé en tant que source de revenus pour la majorité des foyers. Les produits animaux représentent aussi une source de protéine de très bonne qualité et fournissent des micronutriments essentiels à la nutrition humaine (ex. fer, calcium, vitamine B12, zinc, etc.) d'une plus haute biodisponibilité que ceux d'origine végétale.Dans une zone où la production végétale est limitée tandis que le bétail est abondant, les produits d'origine animale ont un énorme potentiel pour diversifier les régimes alimentaires et combattre la malnutrition et la pauvreté. Toutefois, les projets d'élevage et de nutrition humaine ont souvent été déconnectés. La majorité des interventions dans l'élevage au Sahel ont été destinées à améliorer la production (ex. augmenter la production par animal, éviter les maladies et diminuer la mortalité des animaux à l'aide de la vaccination ou l'utilisation de races bien adaptées au milieu sahélien) ou à sauvegarder les moyens d'existence. Ces projets ne cherchaient pas11 Black R. E. et al (2013) Maternal and child undernutrition and overweight in low-income and middle-income countries. The Lancet. "},{"text":"Annexe 6 :Figure 1 .Figure 2 .Figure 3 . Figure 1. Pensez-vous qu'il soit important d'intégrer la nutrition dans les interventions d'élevage (par rapport à d'autres priorités) ? "},{"text":"Figure 4 .Figure 5 .Figure 6 . Figure 4. Comment évaluez-vous votre niveau de connaissance sur la nutrition humaine ? "},{"text":"Figure 7 .Figure 8 . Figure 7. Comment évaluez-vous votre niveau de connaissance sur les liens entre élevage et nutrition humaine ? "},{"text":"Figure 3 . Figure 3. Chemin d'impact créé par le groupe 3. "},{"text":"Figure 4 . Figure 4. Chemin d'impact créé par group 4. "},{"text":" atelier a permis aux participants de différents milieux d'avoir une compréhension commune des concepts de base pour une programmation intégrée de sécurité alimentaire et nutrition discussions de groupe étaient utiles d'un point de vue technique et ont aidé à échanger et mieux comprendre les méthodologies pour une planification conjointe. diversité des profils des participants a permis de riches échanges durant l'atelier 3. Au sujet des sessions de l'atelier, les participants pensent que… Concepts de base et contexte\" était un bon moyen d'introduire l'atelier afin de comprendre les concepts fondamentaux de nutrition et élevage, et les causes principales de la malnutrition. Analyse de la situation\" a permis une meilleure compréhension de comment l'élevage peut contribuer à améliorer la nutrition et a permis de partager des méthodologies dont aidé à mieux comprendre comment les interventions d'élevage peuvent agir sur la malnutrition par des exemples concrets. Interventions (II)\" a aidé à mieux comprendre les rôles partagés des différents secteurs dans l'atteinte d'un objectif nutritionnel commun Suivi et évaluation\" a aidé à mieux comprendre comment définir des indicateurs pour mesurer les impacts nutritionnel des interventions d'élevage. et défis de la mise en oeuvre\" a permis d'identifier les contraintes et opportunités pour une programmation conjointe entre nutrition, élevage, résilience et autres secteurs pertinents. des projets d'élevage comme \"nutrition… Concepts de base de nutrition et sécurité alimentaire Indicateurs de nutrition et de programmes conjoints Relations moyens d'existence, élevage, nutrition Chemins d'impact nutritionnels Concepts en élevage S&E Réaliser analyse situation nutritionnelle avant et après l'intervention LEGS Techniques de préservation et conservation Moyens d'existence Interventions d'urgence de lalimentaire/Scores de Diversité Alimentaire et autres indicateurs Chemins d'impact nutritionnel Types de malnutrition S&E Apports de l'élevage à la nutrition (ex. Micronutriments) Actions d'élevage sensibles à la nutrition Importance de la nutrition dans le développement individuel et collectif Transformation et préservation des produits animaux Piliers de la sécurité alimentaire Cycle de projet incluant la nutrition a chaque étape Informations sur les différents programmes exécutes dans pays en rapport avec la nutrition et l'élevage Arbres a problèmes et solutions Modes de production animale Nécessité d'inverser las causes de la malnutrition à cause de l'explosion démographique élevage-nutrition Chaine d'impact élevage nutrition, positives et négatives Arbres des problèmes /solutions Destockage La capacité d'introduire des critères de nutrition en cours d'un projet Sensibilisation aux pratiques locales qui sont un obstacle à la nutrition (eg. Tabous) Prise en compte des zoonoses Interventions spécifiques d'élevage La mesure de l'hémoglobine en sang La conduite des enquêtes nutritionnelles d'impact (anthropométrie) La distribution de chèvres pour améliorer la nutrition des enfants Les moyens d'existence Le cout et le temps du S&E des interventions sensibles a la nutrition Autoconsommation vs mise au marche NCA Elevage-pastoralisme S&E "},{"text":" "},{"text":" "},{"text":" "},{"text":" "},{"text":" "},{"text":" "},{"text":" "},{"text":" "},{"text":" "},{"text":" "},{"text":" "},{"text":" "},{"text":" "},{"text":"programmes de nutrition et de sécurité alimentaire en situation d'urgence et pour le renforcement de la résilience'. Quels exemples d'interventions en élevage ont montré des d'effets ou impacts positifs directs ou indirects sur la nutrition et/ou les causes de la malnutrition? 'atelier régional « Elevage, Moyen d'existence et Nutrition » a été organisé dans le cadre d'un programme régional de renforcement de la résilience des ménages vulnérables au Sahel financé par ECHO 8 et avec l'appui techniques d'un programme plus large (également financé par ECHO) de renforcement des capacités dans 'Afrique de l'ouest et le Sahel 9 ayant capitaliser les acquis de l' atelier régional (atelier de formation et atelier de formation de formateurs) organisé en juin à Saly, Sénégal, sur 'Intégration des Pour participer à cet atelier, six pays ont été ciblés: le Sénégal, la Mauritanie, le Burkina Faso, le Niger, le Mali et le Tchad.Le processus de préparation de cet atelier a été soutenu par la réalisation des activités suivantes: Une étude préliminaire a été effectuée à Dakar du 9 au 18 septembre. Des interviews avec 30 experts de différent secteurs et structures (nutrition, élevage et sécurité alimentaire // Déroulement de l'atelier Déroulement de l'atelier "},{"text":" ont été envoyés aux différents réseaux dans les pays (cluster Sécurité Alimentaire (SA), groupe SA, Mailing liste du programme SA-Nutrition) et organisations pour faire connaitre l'existence de cet atelier et l'importance du sujet. (Voir documents en Annexes 1 et 2). 2. Un formulaire en ligne a été créé pour faciliter la candidature des participants et connaitre : (1) 2. Un formulaire en ligne a été créé pour faciliter la candidature des participants et connaitre : (1) leur secteur d'expertise/travail, leur organisation et leur pays de travail; (2) leur intérêt pour leur secteur d'expertise/travail, leur organisation et leur pays de travail; (2) leur intérêt pour participer à l'atelier ; (3) leur possible contribution dans les discussions et dans les présentations participer à l'atelier ; (3) leur possible contribution dans les discussions et dans les présentations des cas ou des outils pertinents. En total 130 formulaires d'inscription ont été reçus. (Voir des cas ou des outils pertinents. En total 130 formulaires d'inscription ont été reçus. (Voir document dans l'Annexe 3). document dans l'Annexe 3). 3. La sélection des participants a été faite sur base des critères suivants: 3. La sélection des participants a été faite sur base des critères suivants: a. Un maximum de 60 participants a été établi. a. Un maximum de 60 participants a été établi. "},{"text":"Tabous et mauvaise pratiques interdisant la consommation d'oeufs par les enfants et les femmes enceintes: ). La malnutrition chronique est plus vicieuse car elle est non visible et elle touche près de 1 à 3 enfants sur 5 au Sahel. Cette malnutrition constitue une urgence aggravée par le cycle intergénérationnel de perpétuation et d'augmentation de la malnutrition.o L'Afrique est le continent qui a fait le moins de progrès. Cela a un coût humain et financier (17,5 millions d'enfants souffre de malnutrition chronique en 2014 au Sahel, 20 million prévue pour l'année 2025). Elevage urbain et péri-urbain: Faibles performances, fluctuations marché; vols de bétail, barrières institutionnelles  Chaine de valeur filière lait: Faible productivité des races locales, cloisonnement des produits, transformation de la production locale de lait, les prix de vente du lait, organisation de la collecte.  Chaine de valeur filière viande: Périssabilité des produits, durée du cycle de production, grand nombre d'intermédiaire, faible niveau de performance (rendements inferieurs à 50%), absence de system de crédit et non-maitrise de l'eau.Suite à ces présentations, l'exercice sur les pratiques alimentaires et les tabous a eu lieu. La transformation de lait en beurre existe dans le milieu rural, dans le but d'augmenter sa disponibilité et éviter le gaspillage. La transformation de lait en fromage existe, mais est beaucoup moins fréquente. o Il y a une réelle volonté politique; mais elle doit se concrétiser dans la vie des populations. o Selon une enquête réalisée par le CILSS, l'élevage procure 55 à 75% des revenus contre 40% en milieu agro-pastoral o Les contraintes clés présenté pour les diffèrent systèmes étaient:  VIANDE DE BOEUF: o Le boeuf est consommé par toute la famille, mais en faible quantité en raison du prix élevé de ce produit. Dans quelques ethnies/coutumes, certains morceaux de viande sont réservés au chef du ménage. o Les jeunes enfants et les femmes enceintes n'en mangent pas souvent, en raison des repas autour d'un plat commun, et c'est normalement l'homme qui distribue les morceaux de viande aux membres de la famille. o Tabous et mauvaises pratiques:  Dans certaines régions, les femmes enceintes ne peuvent pas manger de la viande de boeuf car il existe une croyance selon laquelle la femme saignerait trop pendant l'accouchement. Les participants pensent que ce tabou a été créé à la suite d'une coïncidence. o Bonnes pratiques: La viande sèche pour prolonger la durée de conservation du produit.  VIANDE DES PETITS RUMINANTS: o Elle est consommée par toute la famille mais presque exclusivement pendant les jours de fêtes. o Dans certaines cultures, les caprins ne sont pas consommés (ex. les houssas au Niger). o Bonnes pratiques: Pas d'observations.  VOLAILLE: o Consommée par toute la famille et plus régulièrement que les autres viandes. o Un groupe a discuté que les enfants généralement mangent moins de viande de volaille. Pas beaucoup de consommation de dinde et canard car ces produits sont chers, peu courant (disponibilité) et peu habituel. Dans certaines cultures, le canard n'est pas consommé par les femmes. o Tabous et mauvaises pratiques: Pas d'observations. o Bonnes pratiques: Au Niger, comme les familles peuvent acheter juste des morceaux de volaille (ailes, cuisse, etc.) et ne sont donc pas obligées à l'acheter en entier, ceci favorise la consommation. o Bonnes pratiques: Pas d'observations.  PORC: o Il est consommé seulement par les non-musulmans. o Tabous et mauvaises pratiques: Tabous religieux. o Bonnes pratiques: Pas d'observations.  OEUFS: o Les femmes enceintes et les enfants n'en consomment pas dans de nombreux pays et ectnies. o Nombreux  Les enfants qui mangent des oeufs risquent de souffrir d'un retard de la croissance et devenir des voleurs.  Les femmes enceintes qui mangent des oeufs risque d'avoir des enfants chauves et /ou qui deviennent des voleurs. o Bonnes pratiques: Pas d'observations.  ABATS BLANCS (intestin, panse, estomac): o Tout le monde en consomme mais surtout les ménages pauvres. o Tabous et mauvaises pratiques:  Ces produits sont utilisés par les femmes qui allaitent et par les enfants malades sous une forme de soupe. o Bonnes pratiques: Pas d'observations.  o Tabous et mauvaises pratiques: o Tabous et mauvaises pratiques: Pas d'observations.  ABATS o Il y a une réelle volonté politique; mais elle doit se concrétiser dans la vie des populations. o Selon une enquête réalisée par le CILSS, l'élevage procure 55 à 75% des revenus contre 40% en milieu agro-pastoral o Les contraintes clés présenté pour les diffèrent systèmes étaient:  VIANDE DE BOEUF: o Le boeuf est consommé par toute la famille, mais en faible quantité en raison du prix élevé de ce produit. Dans quelques ethnies/coutumes, certains morceaux de viande sont réservés au chef du ménage. o Les jeunes enfants et les femmes enceintes n'en mangent pas souvent, en raison des repas autour d'un plat commun, et c'est normalement l'homme qui distribue les morceaux de viande aux membres de la famille. o Tabous et mauvaises pratiques:  Dans certaines régions, les femmes enceintes ne peuvent pas manger de la viande de boeuf car il existe une croyance selon laquelle la femme saignerait trop pendant l'accouchement. Les participants pensent que ce tabou a été créé à la suite d'une coïncidence. o Bonnes pratiques: La viande sèche pour prolonger la durée de conservation du produit.  VIANDE DES PETITS RUMINANTS: o Elle est consommée par toute la famille mais presque exclusivement pendant les jours de fêtes. o Dans certaines cultures, les caprins ne sont pas consommés (ex. les houssas au Niger). o Bonnes pratiques: Pas d'observations.  VOLAILLE: o Consommée par toute la famille et plus régulièrement que les autres viandes. o Un groupe a discuté que les enfants généralement mangent moins de viande de volaille. Pas beaucoup de consommation de dinde et canard car ces produits sont chers, peu courant (disponibilité) et peu habituel. Dans certaines cultures, le canard n'est pas consommé par les femmes. o Tabous et mauvaises pratiques: Pas d'observations. o Bonnes pratiques: Au Niger, comme les familles peuvent acheter juste des morceaux de volaille (ailes, cuisse, etc.) et ne sont donc pas obligées à l'acheter en entier, ceci favorise la consommation. o Bonnes pratiques: Pas d'observations.  PORC: o Il est consommé seulement par les non-musulmans. o Tabous et mauvaises pratiques: Tabous religieux. o Bonnes pratiques: Pas d'observations.  OEUFS: o Les femmes enceintes et les enfants n'en consomment pas dans de nombreux pays et ectnies. o Nombreux  Les enfants qui mangent des oeufs risquent de souffrir d'un retard de la croissance et devenir des voleurs.  Les femmes enceintes qui mangent des oeufs risque d'avoir des enfants chauves et /ou qui deviennent des voleurs. o Bonnes pratiques: Pas d'observations.  ABATS BLANCS (intestin, panse, estomac): o Tout le monde en consomme mais surtout les ménages pauvres. o Tabous et mauvaises pratiques:  Ces produits sont utilisés par les femmes qui allaitent et par les enfants malades sous une forme de soupe. o Bonnes pratiques: Pas d'observations.  o Tabous et mauvaises pratiques: o Tabous et mauvaises pratiques: Pas d'observations.  ABATS  Système pastoral: Sécurisation des systèmes de production et  Il y a beaucoup de ménages qui sèvrent leurs enfants avant leur première  Système pastoral: Sécurisation des systèmes de production et  Il y a beaucoup de ménages qui sèvrent leurs enfants avant leur première commercialisation année (ou même avant les 6 mois d'âge) et remplacent le lait maternel par du  VIANDE DE CHAMEAU: commercialisation année (ou même avant les 6 mois d'âge) et remplacent le lait maternel par du  VIANDE DE CHAMEAU:  Système agro-pastoral: Peu d'espace pour le bétail; accès aux marchés lait de bovin ou de chèvre. o Très consommée en Mauritanie au milieu rural.  Système agro-pastoral: Peu d'espace pour le bétail; accès aux marchés lait de bovin ou de chèvre. o Très consommée en Mauritanie au milieu rural. difficile. o Non consommée en milieu urbain. difficile. o Non consommée en milieu urbain. o Tabous et mauvaises pratiques: o Tabous et mauvaises pratiques:  Les femmes Toubous (Niger) ne mangent pas la viande de dromadaire car elle  Les femmes Toubous (Niger) ne mangent pas la viande de dromadaire car elle rendrait infertile. rendrait infertile. "},{"text":"ROUGES (poumons, coeur, foie, reins): o Ils sont consommés par le chef des ménages pastoraux. o Ils sont consommés par le chef des ménages pastoraux. o Les enfants en général n'en mangent pas. Le foie n'est pas mangé par les enfants et o Les enfants en général n'en mangent pas. Le foie n'est pas mangé par les enfants et les femmes car c'est considéré souvent comme un choix réservé aux hommes (comme les femmes car c'est considéré souvent comme un choix réservé aux hommes (comme le plupart des abats rouges). Le gésier n'est pas mangé par les femmes. le plupart des abats rouges). Le gésier n'est pas mangé par les femmes. "},{"text":"o Tabous et mauvaises pratiques: Pas d'observations. o Bonnes pratiques: Ils sont normalement grillés pour être mangés par le chef du ménage. Session 2 : Analyse de la situation Cette session a commencé avec les trois présentations suivantes: Cette session a commencé avec les trois présentations suivantes:  Présentation causale de la malnutrition (par Ms. Hélène Pasquier). Cette présentation a expliqué  Présentation causale de la malnutrition (par Ms. Hélène Pasquier). Cette présentation a expliqué les méthodes clés développées par ACF pour conduire une étude d'analyse locale des causalités les méthodes clés développées par ACF pour conduire une étude d'analyse locale des causalités de la malnutrition (Nutritional Causal Analyses, NCA) se basant à la fois sur des enquêtes de la malnutrition (Nutritional Causal Analyses, NCA) se basant à la fois sur des enquêtes quantitatives (mortalité et morbidité, CAP) et qualitative (discussions de groupe). Cette méthode quantitatives (mortalité et morbidité, CAP) et qualitative (discussions de groupe). Cette méthode découle du constat que le point faible majeur de la programmation intégrée est le manque découle du constat que le point faible majeur de la programmation intégrée est le manque d'analyse des facteurs causaux locaux de la malnutrition liés aux problématiques de santé et de d'analyse des facteurs causaux locaux de la malnutrition liés aux problématiques de santé et de comportement. La présentation a fini par un exemple de l'application de la méthode au Burkina comportement. La présentation a fini par un exemple de l'application de la méthode au Burkina Faso a été montré. Faso a été montré.  Présentation du « Household Economic Security » (par Mr. Ibrahima Laye Thiome -IFCR).  Présentation du « Household Economic Security » (par Mr. Ibrahima Laye Thiome -IFCR).  Présentation des indicateurs de consommation alimentaire (par Mr. Wilfred Nkwambi -PAM).  Présentation des indicateurs de consommation alimentaire (par Mr. Wilfred Nkwambi -PAM). Cette présentation a fait un rappel des deux grandes catégories d'indicateurs de mesure de la Cette présentation a fait un rappel des deux grandes catégories d'indicateurs de mesure de la sécurité alimentaire: les indicateurs de fréquence et de diversité alimentaire, et les indicateurs de sécurité alimentaire: les indicateurs de fréquence et de diversité alimentaire, et les indicateurs de comportement. Ensuite le Score de Consommation Alimentaire (SCA) et l'Indice simplifié de comportement. Ensuite le Score de Consommation Alimentaire (SCA) et l'Indice simplifié de Stratégies de Survie (reduced Coping Strategy Index, CSI) ont été expliqué plus en détail. Lors de Stratégies de Survie (reduced Coping Strategy Index, CSI) ont été expliqué plus en détail. Lors de cette présentation, les avantages et inconvénients de chacun de ces indicateurs ont été débattus. cette présentation, les avantages et inconvénients de chacun de ces indicateurs ont été débattus. Il a été aussi souligné qu'il était nécessaire de considérer les informations a collectées pour ces Il a été aussi souligné qu'il était nécessaire de considérer les informations a collectées pour ces indicateurs afin de renseigner la conception/dimensionnement des réponses de sécurité indicateurs afin de renseigner la conception/dimensionnement des réponses de sécurité alimentaire. alimentaire. "},{"text":"Exercice de groupe : Chemins d'impact par lesquels l'élevage peut affecter la nutrition. Figure 2. Chemin d'impact entre l'élevage et la nutrition Figure 2. Chemin d'impact entre l'élevage et la nutrition Acheter aliments végétaux Acheter aliments végétaux Acheter aliments animaux Acheter aliments animaux Revenus Revenus Dépense en santé Dépense en santé Emploi Dépense en éducation EmploiDépense en éducation Culture Genre Aliment bétail Maladies animales Zoonoses (non-alimentaires) Zoonoses alimentaires Culture Genre Aliment bétailMaladies animalesZoonoses (non-alimentaires) Zoonoses alimentaires Préservation Préservation Maladies animales Saisonnalité Autoconsommation Maladies animales SaisonnalitéAutoconsommation Autonomisation des femmes Pouvoir de décision Achat d'aliments Autonomisation des femmesPouvoir de décisionAchat d'aliments Elevage Compétition de ressources (Terre, Eau, produits agricoles) Emploi du temps Substitution d'autres activités Revenues (…) Nutrition ElevageCompétition de ressources (Terre, Eau, produits agricoles) Emploi du temps Substitution d'autres activitésRevenues (…)Nutrition Soins aux enfants Allaitement Soins aux enfantsAllaitement Alimentation complémentaire Alimentation complémentaire Activité physique L'objectif de cet exercice était de faire réfléchir les participants sur les différents chemins possibles par Assurance de capital lesquels l'élevage peut avoir un impact positif ou négatif sur la nutrition des ménages. Les facteurs qui Dépense en santé Activité physique L'objectif de cet exercice était de faire réfléchir les participants sur les différents chemins possibles par Assurance de capital lesquels l'élevage peut avoir un impact positif ou négatif sur la nutrition des ménages. Les facteurs qui Dépense en santé peuvent influencer l'utilisation des différents chemins d'impact ont été étudiés séparément. Réponse au choques peuvent influencer l'utilisation des différents chemins d'impact ont été étudiés séparément. Réponse au choques Les facilitateurs ont divisé les participants en quatre groupes. Ils les ont aidés à identifier les différents Investissement Revenus (…) Les facilitateurs ont divisé les participants en quatre groupes. Ils les ont aidés à identifier les différents Investissement Revenus (…) chemins d'impact, en leur donnant des cartes avec des mots clés dans les cas où le groupe n'arrivait pas chemins d'impact, en leur donnant des cartes avec des mots clés dans les cas où le groupe n'arrivait pas à continuer. Une session de restitution en plénière a ensuite été réalisée et a permis de réaliser le Transport Accès aux marchés à continuer. Une session de restitution en plénière a ensuite été réalisée et a permis de réaliser le Transport Accès aux marchés diagramme finale repris dans la Figure 2. Eau diagramme finale repris dans la Figure 2.Eau Mobilité Access aux ressources Education MobilitéAccess aux ressourcesEducation Santé Santé Traction Production agricole TractionProduction agricole Combustible (biogaz) Combustible (biogaz) Fumier Fumier Revenus (…) Revenus (…) "},{"text":"Aliments Explication des différents chemins d'impact:  Les Revenus issus de l'élevage peuvent être utilisés pour:  Les Revenus issus de l'élevage peuvent être utilisés pour: o L'achat d'aliments, et donc avec un impact clair sur la nutrition. Néanmoins, les ménages o L'achat d'aliments, et donc avec un impact clair sur la nutrition. Néanmoins, les ménages peuvent décider d'acheter des produits d'origine végétale et/ou animale, ou autres peuvent décider d'acheter des produits d'origine végétale et/ou animale, ou autres produits non-alimentaires. La consommation peut être très variable en termes de produits non-alimentaires. La consommation peut être très variable en termes de quantité et qualité nutritionnelle, ce qui peut donc affecter l'état nutritionnel des quantité et qualité nutritionnelle, ce qui peut donc affecter l'état nutritionnel des ménages. ménages. o L'accès aux services de santé. Une personne malade a des besoins nutritionnels plus o L'accès aux services de santé. Une personne malade a des besoins nutritionnels plus importants et une réduction de la capacité d'absorption de nutriments (comme dans les importants et une réduction de la capacité d'absorption de nutriments (comme dans les cas de diarrhée). L'utilisation des revenus pour la prévention et le traitement des maladies cas de diarrhée). L'utilisation des revenus pour la prévention et le traitement des maladies a donc un effet sur l'état nutritionnel des ménages. a donc un effet sur l'état nutritionnel des ménages. o L'accès à une meilleure éducation. Les revenus peuvent être dépensés dans l'éducation, o L'accès à une meilleure éducation. Les revenus peuvent être dépensés dans l'éducation, ce qui peut augmenter les connaissances sur les pratiques alimentaires/ de nutrition des ce qui peut augmenter les connaissances sur les pratiques alimentaires/ de nutrition des ménages pour l'obtention d'une alimentation équilibrée et donc aboutir à une meilleure ménages pour l'obtention d'une alimentation équilibrée et donc aboutir à une meilleure nutrition. L'éducation peut aussi avoir un impact sur le succès professionnel, ce qui nutrition. L'éducation peut aussi avoir un impact sur le succès professionnel, ce qui permet d'augmenter le pouvoir d'achat des ménages, et donc leur possibilité d'avoir une permet d'augmenter le pouvoir d'achat des ménages, et donc leur possibilité d'avoir une bonne nutrition. bonne nutrition.  Emploi: Beaucoup de personnes dépendent de l'élevage comme source d'emploi (même s'ils ne  Emploi: Beaucoup de personnes dépendent de l'élevage comme source d'emploi (même s'ils ne sont pas propriétaires des animaux). Ces emplois sont des sources de revenus qui, comme sont pas propriétaires des animaux). Ces emplois sont des sources de revenus qui, comme expliqué précédemment, contribuent directement l'état nutritionnel des ménages. expliqué précédemment, contribuent directement l'état nutritionnel des ménages.  Maladies animales (zoonoses): Les animaux peuvent transmettre des maladies aux personnes de  Maladies animales (zoonoses): Les animaux peuvent transmettre des maladies aux personnes de deux manières : (1) à travers des pathogènes présents dans les aliments, ou (2) à travers un deux manières : (1) à travers des pathogènes présents dans les aliments, ou (2) à travers un transfert de pathogènes par contact direct avec les animaux ou leur fèces. Comme expliqué transfert de pathogènes par contact direct avec les animaux ou leur fèces. Comme expliqué précédemment, les maladies ont un effet direct sur les besoins nutritionnels des personnes. précédemment, les maladies ont un effet direct sur les besoins nutritionnels des personnes.  Autoconsommation: Ceci représente un chemin direct. L'accès (ou la manque d'accès) des  Autoconsommation: Ceci représente un chemin direct. L'accès (ou la manque d'accès) des ménages aux propre produits animaux est lié à une consommation de haute qualité ménages aux propre produits animaux est lié à une consommation de haute qualité nutritionnelle. nutritionnelle.  Autonomisation de femmes: Une meilleure autonomie des femmes est liée à la nutrition des  Autonomisation de femmes: Une meilleure autonomie des femmes est liée à la nutrition des ménages par au moins deux chemins d'impact: ménages par au moins deux chemins d'impact: o Si la femme est la propriétaire des animaux, il est probable que l'autoconsommation dans o Si la femme est la propriétaire des animaux, il est probable que l'autoconsommation dans le ménage augmente. Si l'homme est le propriétaire, il est possible que les animaux soient le ménage augmente. Si l'homme est le propriétaire, il est possible que les animaux soient vendus et ainsi non utilisés pour l'autoconsommation. vendus et ainsi non utilisés pour l'autoconsommation. o Si la femme a un pouvoir de décision plus grand sur les dépenses du ménage, il est o Si la femme a un pouvoir de décision plus grand sur les d��penses du ménage, il est possible que les achats d'aliments soient plus importants que dans le cas où l'homme a possible que les achats d'aliments soient plus importants que dans le cas où l'homme a le contrôle. le contrôle.  Emploi du temps: L'élevage représente une charge de travail importante (il faut alimenter les  Emploi du temps: L'élevage représente une charge de travail importante (il faut alimenter les animaux, nettoyer leur habitat, faire la traite pour avoir du lait, etc. animaux, nettoyer leur habitat, faire la traite pour avoir du lait, etc. "},{"text":" La diminution de la production et le bradage sont suivis d'une réduction des revenus avec la subséquente perte de pouvoir d'achat, ce que aurait comme autres conséquences l'implémentation de stratégies d'adaptation négative (« destructrice »), une insécurité alimentaire et finalement la malnutrition. Ces pertes de pouvoir d'achat seraient dues à: o L'inaccessibilité économique aux marchés. o La perte d'emploi. o L'augmentation du coût de l'alimentation du bétail.  Le manque d'eau et nourriture contribue à une faiblesse généralisée des animaux. Ceci peut avoir comme conséquence: "},{"text":"Table 1 . Dans une crise économique, il peut y avoir une augmentation des prix des produits alimentaires, dont ceux d'origine animale. Il y aura donc une réduction du pouvoir d'achat des ménages, qui aura comme conséquence: Une diminution de la demande peut avoir comme effet une diminution du nombre d'éleveurs, et donc une perte d'emploi et de revenu par ces éleveurs, et aussi pour les autres éleveurs qui vendent moins.o Diminution de l'accès aux services de base. Les maladies humaines augmenteront. Le manque d'accès à une bonne alimentation de qualité rendra ce problème encore plus difficile, car l'immunité des personnes peut être réduite. Comme expliqué précédemment, ceci peut créer une situation de malnutrition.o Création des conflits dans les ménages. Il y aura une augmentation du stress et une diminution de l'appétit. Un problème de malnutrition peut donc arriver. Une diminution de l'offre de travail, surtout dans le domaine de l'élevage. Beaucoup de personnes devront donc migrer, ce qui :o Augmentera la charge de travail des femmes, diminuera le temps de soins aux enfants et peut aussi augmenter le travail.o Diminuera la fréquentation scolaire et donc augmentera la vulnérabilité face à la pauvreté et à de mauvaises pratiques nutritionnelles. Diagramme de solutions aux problèmes identifiés  « Développement des activités génératrices de revenus pour limiter que certaines personnes se dirigent vers des activités illégales. ». Ceci est lié avec la perte d'emploi et l'insécurité. "},{"text":"Table 2 . Question 4: Comment les tabous et les questions de genre sont-ils pris en compte dans les projets?Trois sessions parallèles avec trois présentations chacune ont été conduites. Les présentations faites sont montrées dans laTable 2. Présentations des interventions dans les sessions parallèles Sénégal Dans chaque session, les participants ont désigné « leur » deux représentants chargés d'expliquer en plénière les discussions qui ont eu lieu. Les échanges et débats entre tous les groupes ont permis de souligner les points suivants: L'utilisation d'une approche multisectorielle pour pouvoir faire face aux questions techniques de l'élevage et aux questions techniques de la nutrition (comme les indicateurs).  Il est important de connaitre les limitations de chacun. Ceci permet une collaboration multisectorielle efficace.  Le WASH est aussi un facteur très important à prendre en compte.  Considération de la caducité des aliments et la formulation des stratégies pour combattre ce facteur.  L'utilisation des espèces à cycle court.  Evaluation de la qualité nutritionnelle des aliments.  Evaluation de la qualité sanitaire des aliments.  Production de viande sèche et son utilisation pour une alimentation complémentaire des ménages. Ceci a été vu comme un lien direct avec la nutrition.  L'adaptation des réponses aux activités existantes dans la région. Le fait que des interventions se sont basées sur des activités locales et acceptées par les bénéficiaires.  Il faut penser à la nutrition dans la conception des projets, non pendant ou après le démarrage. Ceci est particulièrement important pour pouvoir mettre en place des indicateurs appropriés et pouvoir ainsi mesurer correctement l'effet ou l'impact nutritionnel (par exemple, des interventions ne peuvent pas montrer l'impact nutritionnel s'ils n'ont pas mesuré l'état nutritionnel des ménages avant de commencer). Salle Présentateur Organisation Présentation Pays SallePrésentateurOrganisationPrésentationPays Dieng, Mbaye Secours Islamique « Le passage de don de chèvres, un moyen d'existence Sénégal Dieng, MbayeSecours Islamique« Le passage de don de chèvres, un moyen d'existenceSénégal Kane France et de lutte contre la malnutrition chez les enfants de 5 à KaneFranceet de lutte contre la malnutrition chez les enfants de 5 à 59 mois » 59 mois » Traore Jean Centre Suisse de « Systèmes de préservation des produits d'origine Cote d'Ivoire Traore JeanCentre Suisse de« Systèmes de préservation des produits d'origineCote d'Ivoire Salle Sylvain Recherches animale » SalleSylvainRecherchesanimale » Scientifiques Scientifiques Diop, Aminata Cellule de Lutte « Le projet d'appui a la sécurité alimentaire des Sénégal Diop, AminataCellule de Lutte« Le projet d'appui a la sécurité alimentaire desSénégal contre la ménages vulnérables (PANAV) » contre laménages vulnérables (PANAV) » Malnutrition (CLM) Malnutrition (CLM) Vias Frank, Giles Vétérinaires Sans « Comment les activités de déstockage peuvent affecter Mali Vias Frank, Giles Vétérinaires Sans« Comment les activités de déstockage peuvent affecterMali Frontières Belgique la malnutrition » Frontières Belgiquela malnutrition » Salle Diao, Bouraïma Kolda Association Gune De dans l'alimentation des ménages » « Contribution de l'élevage des espèces à cycle court Sénégal SalleDiao, BouraïmaKolda Association Gune Dedans l'alimentation des ménages » « Contribution de l'élevage des espèces à cycle courtSénégal Van Mourik, Helen Keller « Aperçu projet GHANGE » Régional Van Mourik,Helen Keller« Aperçu projet GHANGE »Régional Thomas International ThomasInternational Coulibaly, Oxfam Intermon « Présentation Volet Elevage Oxfam en Mauritanie avec Mauritanie Coulibaly,Oxfam Intermon« Présentation Volet Elevage Oxfam en Mauritanie avecMauritanie Zeinabou ses partenaires AMAD et APLV » Zeinabouses partenaires AMAD et APLV » Charpentier, CESAO « Promotion d'un élevage plus rentable pour tous, Régional Charpentier,CESAO« Promotion d'un élevage plus rentable pour tous,Régional Vincent moins aléatoire etplus respectueux de (Niger) Vincentmoins aléatoire etplus respectueux de(Niger) Salle l'environnementpar l'optimisation de la valorisation des produits carnés au service de la sécurité Sallel'environnementpar l'optimisation de la valorisation des produits carnés au service de la sécurité alimentaire » alimentaire » Bastard, GRET « Services de santé dans les contacts agricoles. Etude Bastard,GRET« Services de santé dans les contacts agricoles. Etude Guillaume pilote IFPRI-LDB-GRET » Guillaumepilote IFPRI-LDB-GRET » Question 1: Quels sont les éléments dans la conception du projet qui maximisent son impact Question 1: Quels sont les éléments dans la conception du projet qui maximisent son impact nutritionnel (ex. chemins d'impact, stratégies de ciblage, mécanismes de coordination, composante nutritionnel (ex. chemins d'impact, stratégies de ciblage, mécanismes de coordination, composante nutritionnelle, degré d'intégration, etc.)? nutritionnelle, degré d'intégration, etc.)?  Le ciblage est déterminant.  Le ciblage est déterminant.  La compréhension des habitudes alimentaires.  La compréhension des habitudes alimentaires. "},{"text":" C'est un problème de donner des chevreaux à une personne qui ne peut pas les maintenir. Il faut accompagner ce genre d'intervention avec des services vétérinaires, d'alimentation de bétail et autres services.  L'absence d'équipe nutritionnelle ou vétérinaire peut limiter l'efficacité. Il faut avoir une approche multisectorielle.  L'élevage a un objectif nutritionnel dans le ménage, mais fréquemment le besoin financier prend le dessus. Il faut montrer le coût économique de la malnutrition pour les ménages, pour qu'ils puissent comprendre les bénéfices d'une bonne nutrition avec des produits animaux (exemple: ne pas tout vendre et faire un peu d'autoconsommation). Ceci est pertinent pour les communautés au Sahel qui ont beaucoup de bétail et une très haute prévalence de malnutrition. Il faut éduquer pour investir dans la nutrition.  La vente de lait représente une grande partie du budget du ménage. Les interventions doivent penser à la gestion du budget par les ménages. Question 3: Existe-t-il des risques d'impact négatif des projets sur la nutrition, et si tel est le Question 3: Existe-t-il des risques d'impact négatif des projets sur la nutrition, et si tel est le cas, comment peuvent-ils être évités ou atténués? cas, comment peuvent-ils être évités ou atténués?  Problème sanitaire de la viande sèche.  Problème sanitaire de la viande sèche.  Problème de coût et durabilité des interventions. Il faut que l'industrie privée s'intéresse à la  Problème de coût et durabilité des interventions. Il faut que l'industrie privée s'intéresse à la question de la nutrition. question de la nutrition. "},{"text":"Présentation sur les techniques de préservation traditionnelles des aliments (par Mr. (par Mr. Mawuli Sablah, FAO). Les concepts introduits étaient: (1) les facteurs influençant la Mawuli Sablah, FAO). Les concepts introduits étaient: (1) les facteurs influençant la détérioration des aliments, (2) la congélation, (2) le séchage, (3) la salaison/salage et détérioration des aliments, (2) la congélation, (2) le séchage, (3) la salaison/salage et saumurage, (4) le fumage, (5) la fermentation, (6) le fromage et (7) autres techniques. saumurage, (4) le fumage, (5) la fermentation, (6) le fromage et (7) autres techniques.  Presentation du « Livestock Emergency Guidelines and Standards (LEGS) » (par Dr. Mahaman  Presentation du « Livestock Emergency Guidelines and Standards (LEGS) » (par Dr. Mahaman -VSF-B). Les concepts généraux du manuel ont été présentés et à la fin de la présentation, le -VSF-B). Les concepts généraux du manuel ont été présentés et à la fin de la présentation, le manuel a été distribué aux participants. manuel a été distribué aux participants. "},{"text":" 1. Analyse de la mobilité. Il faut s'assurer que les pasteurs ne peuvent pas effectivement se déplacer. Le déstockage est considéré comme dernière recours et seulement si la situation d'immobilité est confirmée. d'immobilité est confirmée. 2. Evaluation des ressources fourragères. 2. Evaluation des ressources fourragères. 3. Connaitre les besoins des UBT (unité de bétail). 3. Connaitre les besoins des UBT (unité de bétail). 4. Estimer combien d'UBT doivent être déstockées. 4. Estimer combien d'UBT doivent être déstockées. 5. Connaitre les habitudes alimentaires. 5. Connaitre les habitudes alimentaires. 6. Identification des individus/ménages vulnérables à la sous-nutrition. 6. Identification des individus/ménages vulnérables à la sous-nutrition. 7. Analyse du marché local. 7. Analyse du marché local. 8. Analyse de la prise de décision au sein du ménage. 8. Analyse de la prise de décision au sein du ménage. 9. Analyse de l'infrastructure d'abattage. 9. Analyse de l'infrastructure d'abattage. 10. Accès aux services de base. 10. Accès aux services de base. 11. Situation nutritionnelle actuelle et dans un future proche. 11. Situation nutritionnelle actuelle et dans un future proche. "},{"text":"Session 5: Suivi et évaluation Présentation: Rappel sur le suivi et évaluation et mesure des impacts nutritionnels des interventions (Par Marc Chapon-AVSF, et Domitille Kauffmann-FAO) (Par Marc Chapon-AVSF, et Domitille Kauffmann-FAO) Après un récapitulatif des leçons apprises pendant les deux premiers jours par rapport au cycle de Après un récapitulatif des leçons apprises pendant les deux premiers jours par rapport au cycle de projet, cette session a permis de clarifier les concepts de suivi et d'évaluation et d'apprendre à définir projet, cette session a permis de clarifier les concepts de suivi et d'évaluation et d'apprendre à définir des indicateurs «nutrition-sensibles», tout au long de la chaîne de résultats (processus / produit / des indicateurs «nutrition-sensibles», tout au long de la chaîne de résultats (processus / produit / résultat / impact). résultat / impact). La première présentation a mis le point sur les différences entre 'Suivi' (mesurer la performance du La première présentation a mis le point sur les différences entre 'Suivi' (mesurer la performance du programme pendant sa mise en oeuvre de façon assidue, régulière et itérative) et 'Evaluation' programme pendant sa mise en oeuvre de façon assidue, régulière et itérative) et 'Evaluation' (mesurer les effets du programme selon des résultats et objectifs) et sur comment mener des bonnes (mesurer les effets du programme selon des résultats et objectifs) et sur comment mener des bonnes stratégies de suivi et d'évaluation. Ensuite, une révision des principaux indicateurs permettant de stratégies de suivi et d'évaluation. Ensuite, une révision des principaux indicateurs permettant de "},{"text":"Exercice de groupe: Quels sont les possibles indicateurs nécessaires pour suivre l'impact nutritionnel des interventions identifiées ? Suite à la session théorique sur les indicateurs, il a été demandé aux participants d'identifier les indicateurs (i) de processus/produits, et de (ii) résultats et d'impact nutritionnels les plus appropriés pour mesurer leurs interventions proposées, la veille, dans leur groupe de travail. Les résultats de l'exercice sont montrés dans la Table3. "},{"text":"Table 3 : Identification d'indicateurs pour une intervention précise pour améliorer la nutrition Quoi ? Intervention proposée Indicateurs Type Quoi ? Intervention proposéeIndicateursType Augmentation du capital productif Nombre d'animaux reproducteurs (unités fonctionnelles) Processus Augmentation du capital productifNombre d'animaux reproducteurs (unités fonctionnelles)Processus Quantité produite de lait (nombre de litres de lait produits/collectés) Impact Quantité produite de lait (nombre de litres de lait produits/collectés)Impact Augmentation du revenu Augmentation du revenu % de femmes/enfants consommant des produits laitiers % de femmes/enfants consommant des produits laitiers Déstockage Nombre de ménages qui acceptent faire du déstockage Processus DéstockageNombre de ménages qui acceptent faire du déstockageProcessus SDA (enfants/ femmes enceinte/ âgées) Impact SDA (enfants/ femmes enceinte/ âgées)Impact SCA SCA ANJE ANJE Taux de malnutrition (MAG, taux de croissance) Taux de malnutrition (MAG, taux de croissance) Anémie Anémie Amélioration de la santé animale Nombre d'animaux vaccinés Processus Amélioration de la santé animaleNombre d'animaux vaccinésProcessus Taux de mortalité animale Impact Taux de mortalité animaleImpact SDA, SCA, ANJE, malnutrition, anémie SDA, SCA, ANJE, malnutrition, anémie Augmentation de la production des Nombre total de têtes distribuées aux ménages Processus Augmentation de la production desNombre total de têtes distribuées aux ménagesProcessus aliments SDA, SCA, ANJE, malnutrition, anémie Impact alimentsSDA, SCA, ANJE, malnutrition, anémieImpact Augmentation de la production de Quantité produite de lait Processus Augmentation de la production deQuantité produite de laitProcessus lait %de la production conforme aux standards de qualité lait%de la production conforme aux standards de qualité % de femmes/enfants consommant des produits laitiers Impact % de femmes/enfants consommant des produits laitiersImpact SDA, SCA, ANJE, malnutrition, anémie SDA, SCA, ANJE, malnutrition, anémie Augmentation des dépenses en Dépenses nettes pour l'alimentation Processus Augmentation des dépenses enDépenses nettes pour l'alimentationProcessus alimentation SDA, SCA, ANJE, malnutrition, anémie Impact alimentationSDA, SCA, ANJE, malnutrition, anémieImpact Augmentation de la consommation Quantité de lait produite Processus Augmentation de la consommationQuantité de lait produiteProcessus de lait % de femmes/enfants consommant des produits laitiers Impact de lait% de femmes/enfants consommant des produits laitiersImpact SDA, SCA, ANJE, malnutrition, anémie SDA, SCA, ANJE, malnutrition, anémie Préservation de la viande comme Quantité de viande sèche commercialisée Processus Préservation de la viande commeQuantité de viande sèche commercialiséeProcessus viande sèche ou développement d'autres produits Augmentation du revenu issue de l'activité Nombre de points de vente viande sèche ou développement d'autres produitsAugmentation du revenu issue de l'activité Nombre de points de vente Nombre d'évènements promotionnels organisés Nombre d'évènements promotionnels organisés % de femmes/enfants consommant de la viande sèche Impact % de femmes/enfants consommant de la viande sècheImpact SDA, SCA, ANJE, malnutrition, anémie SDA, SCA, ANJE, malnutrition, anémie Renforcer les capacités des Nombre de formations délivrées Processus Renforcer les capacités desNombre de formations délivréesProcessus ménages dans la pratique alimentaire et nutritionnelle-Formation Nombre de personnes formées/ sensibilisées (hommes vs. femmes) Nombre de femmes/hommes ayant des connaissances adéquates sur les bonnes pratiques alimentaires et de nutrition ménages dans la pratique alimentaire et nutritionnelle-FormationNombre de personnes formées/ sensibilisées (hommes vs. femmes) Nombre de femmes/hommes ayant des connaissances adéquates sur les bonnes pratiques alimentaires et de nutrition Nombre de femmes/hommes mettant en application des bonnes pratiques Impact Nombre de femmes/hommes mettant en application des bonnes pratiquesImpact ANJE ANJE SDA, SCA, malnutrition, anémie SDA, SCA, malnutrition, anémie "},{"text":"Coordination et défis de la mise en oeuvre Exercice de groupe: Quels sont les principaux problèmes dans la coordination d'interventions d'élevage et de nutrition ? Des "},{"text":"10. Exercice de groupe: Que faire pour faire avancer un agenda dans lequel les efforts en élevage soient mieux intégrés avec les efforts en nutrition? Les ConclusionsIl a été demandé aux participants de choisir un ambassadeur par pays pour présenter leur plans d'action « pays » et de dire quelques mots de clôture de cet atelier. Les formulaires d'évaluation ont ensuite été remplis avant de clôturer l'atelier avec la distribution de la clé USB avec les supports de l'atelier, la remise d'un certificat de participation et un bref mot des organisateurs. Les animateurs ont remercié l'ensemble des participants pour leur participation active et leurs riches contributions tout au long de l'atelier. Ils ont aussi eu des mots d'encouragement pour qu'ils restituent et déroulent leurs plans d'action dans leur pays en synergie avec les experts de la nutrition et de l'élevage de leur pays respectif. Ils ont été invités également à continuer les échanges, entre eux et avec les organisateurs (FAO, RVC, ILRI) pour poursuivre la capitalisation et l'échange d'expérience.L'ensemble des présentations y compris celles des participants, les documents et les plans d'actions par pays sont disponibles et accessibles en ligne via le lien suivant : http://www.fao.org/inplus de temps aux partages d'expérience, soit en travail d'équipe, soit en discussion plénière, et même consacrer plus de jours pour l'atelier. Aussi, ils ont recommandé que les sessions parallèles ne soient pas parallèles pour que tous les participants puissent en bénéficier, et que les exercices de groupe soient basés sur des études de cas concrets. Les détails des résultats de l'évaluation sont repris en Annexe "},{"text":"12. Annexe 1 : Note conceptuelle "},{"text":"Afrique de l'Ouest et Sahel : Elevage, Moyens d'Existence et Nutrition Humaine souvent à identifier de synergies entre l'élevage et l'état nutritionnel des ménages pauvres. En outre, des expériences concrètes ont démontré qu'une amélioration de la production ne se traduit pas nécessairement par une augmentation de la consommation, et peut même résulter en une diminution, quand l'autoconsommation est remplacée par la vente par exemple. Le fait que les animaux soient gardés pour des raisons autres que la consommation et les revenus (par exemple pour l'épargne, l'assurance ou l'échange social) complique encore plus la compréhension des liens avec la nutrition humaine, dont les interventions se basent plus souvent sur la production végétale. Une meilleure connaissance des voies par lesquelles l'élevage peut contribuer à réduire la malnutrition (chemins d'impact) est fondamentale pour la capitalisation du potentiel du bétail. Pour maximiser l'impact sur la nutrition, les interventions en élevage devraient être conçues avec une approche « sensible » à la nutrition et la nutrition considérée comme un point d'entrée pour les programmes de renforcement de la résilience.L'engagement politique pour la nutrition est illustré par le nombre croissant de pays adhérant au Mouvement de Renforcement de la Nutrition (SUN: Scaling Up Nutrition 16 ). Les initiatives d'amélioration de la résilience (ex. AGIR) priorisent aussi l'amélioration de la nutrition. Toutefois des efforts importants sont encore nécessaires pour établir avec succès des synergies opérationnelles entre la nutrition et les interventions en élevage, et pour formuler des stratégies intégrées pour réduire la malnutrition 17 . Le succès de ces programmes nécessite une compréhension, un langage commun et une approche partagée entre experts de la production animale et de la nutrition ainsi que des capacités sur le terrain pour planifier, mener une planification multisectoriel et mesurer les effets des interventions conjointes. "},{"text":"Atelier Régional Afrique de l'Ouest et Sahel : Elevage, Moyens d'Existence et Nutrition Humaine Session 3 et 4 \"Interventions\" : Les objectifs de cette session sont de comprendre comment les professionnels et institutions travaillant dans différents secteurs (nutrition et élevage) peuvent contribuer à atteindre des résultats communs en matière de nutrition. Cette session permettra aux participants d'échanger des exemples d'interventions ou activités faites sur l'élevage qui ont intégré la nutrition et la sécurité alimentaire.  Session 5 \"Suivi et évaluation\" : Cette section clarifiera les concepts de suivi et d'évaluation et permettra aux participants d'apprendre comment définir des indicateurs pour mesurer les résultats/impacts en matière de nutrition humaine des interventions d'élevage, tout au long de la chaîne de résultats (processus / produit / résultat / impact). Les participants pourront discuter des mécanismes de coordination pour lier la nutrition et la résilience des moyens d'existence sur l'élevage. Puis, regroupés par pays, ils reviendront sur les sujets qui ont été couverts au cours de l'atelier et réfléchiront sur comment appliquer dans leur pays ce qui a été appris dans l'atelier. Ils travailleront sur leur plan d'action par pays afin de prendre en compte les recommandations issues de l'atelier et d'identifier les opportunités et les défis clés pour mieux intégrer les programmes de nutrition dans les programmes ou interventions sur l'élevage (notamment les ressources nécessaires et les contraintes possibles). Pays Organisation Nom Prénom E-mail PaysOrganisationNomPrénomE-mail Ministère du Ministère du Mali Développmeent Rural, cellule de coopération KONE MME DIANE MARIAME inakone@hotmail.com MaliDéveloppmeent Rural, cellule de coopérationKONE MME DIANEMARIAMEinakone@hotmail.com agricole agricole Mali ONG C.E.R.CA.P KARAMBE Aminata karambeaminata@yahoo.fr MaliONG C.E.R.CA.PKARAMBEAminatakarambeaminata@yahoo.fr Vétérinaires Sans Vétérinaires Sans Mali Frontières -Belgique VIAS FRANCK GILLES g.vias@vsf-belgium.org MaliFrontières -BelgiqueVIAS FRANCKGILLESg.vias@vsf-belgium.org (VSF-B) (VSF-B) Association Association Mauritanie Mauritanienne pour l'Auto BA Elhadj ongamad1@gmail.com MauritanieMauritanienne pour l'AutoBAElhadjongamad1@gmail.com Développement (AMAD) Développement (AMAD) Mauritanie Croissant Rouge Mauritanien AHMED EL GHALLAWI Mohamed Abdallahi hamadkleib@hotmail.com MauritanieCroissant Rouge MauritanienAHMED EL GHALLAWIMohamed Abdallahihamadkleib@hotmail.com Mauritanie Gret GRAAFLAND LEA graafland@gret.org Mauritanie GretGRAAFLANDLEAgraafland@gret.org Mauritanie OXFAM Intermon Coulibaly Zeinabou zcoulibaly@oxfamintermon.org Mauritanie OXFAM IntermonCoulibalyZeinabouzcoulibaly@oxfamintermon.org Niger Action Contre la Faim (ACF) -Espagne Moussa Amadou Boubacar bmoussa@ne.acfspain.org NigerAction Contre la Faim (ACF) -EspagneMoussa AmadouBoubacarbmoussa@ne.acfspain.org Pays Equipe de facilitation Organisation Association pour la Niger Redynamisation de l'Elevage au Niger Nom ABARCHI Prénom Harouna E-mail ab.harou@gmail.com Pays Equipe de facilitation Organisation Association pour la Niger Redynamisation de l'Elevage au NigerNom ABARCHIPrénom HarounaE-mail ab.harou@gmail.com HQ/Rome FAO ESN (AREN) Kauffmann Domitille domitille.kauffmann@fao.org HQ/Rome FAO ESN (AREN)KauffmannDomitilledomitille.kauffmann@fao.org HQ/Londre s Niger RVC/ILRI Ministère de l'Elevage Alarcon Lopez, BOUREIMA Pablo AMADOU palarcon@rvc.ac.uk aboureimas@yahoo.fr HQ/Londre s NigerRVC/ILRI Ministère de l'ElevageAlarcon Lopez, BOUREIMAPablo AMADOUpalarcon@rvc.ac.uk aboureimas@yahoo.fr HQ/Londre Niger s Régional Niger (Sénégal) Régional (Sénégal) Sénégal RVC/ILRI PAM FAO/REOWA Vétérinaires Sans Frontières Belgique FAO/REOWA Association Gune de Kolda Dominguez-Salas Tahirou AbdouAziz Mahaman BREYNE Diao Paula Lawan Thioune Abdourahaman e Christophe Bouraïma Lawan.Tahirou@wfp.org pdominguezsalas@rvc.ac.uk AbdouAziz.Thioune@fao.org m.abdouramane@vsf-belgium.org Christophe.Breyne@fao.org bouraimadiao@yahoo,fr HQ/Londre Niger s Régional Niger (Sénégal) Régional (Sénégal) SénégalRVC/ILRI PAM FAO/REOWA Vétérinaires Sans Frontières Belgique FAO/REOWA Association Gune de KoldaDominguez-Salas Tahirou AbdouAziz Mahaman BREYNE DiaoPaula Lawan Thioune Abdourahaman e Christophe BouraïmaLawan.Tahirou@wfp.org pdominguezsalas@rvc.ac.uk AbdouAziz.Thioune@fao.org m.abdouramane@vsf-belgium.org Christophe.Breyne@fao.org bouraimadiao@yahoo,fr Participants Sénégal Action contre la Faim Fradin eric coordtech@sn.acfspain.org Participants SénégalAction contre la FaimFradinericcoordtech@sn.acfspain.org Burkina Faso Sénégal Croix-Rouge Burkinabaise AECID SOMBIE / HIEN Jimenez Hortense Milagros hsombie@croixrougebf.org milagros.jimenez@aecid.es Burkina Faso SénégalCroix-Rouge Burkinabaise AECIDSOMBIE / HIEN JimenezHortense Milagroshsombie@croixrougebf.org milagros.jimenez@aecid.es Burkina Faso Sénégal ECHO Cellule de Lutte contre la Malnutrition (CLM) ILBOUDO Diop Abdoulaye Aminata abdoulaye.ilboudo@echofield.e u andoye@clm.sn Burkina Faso SénégalECHO Cellule de Lutte contre la Malnutrition (CLM)ILBOUDO DiopAbdoulaye Aminataabdoulaye.ilboudo@echofield.e u andoye@clm.sn Burkina Faso Sénégal FAO Direction des Services Vétérinaires OUEDRAOGO Gueye Boureima Coumba KEBE Boureima.ouedraogo@fao.org coumba.kebe@elevage.gouv.s n Burkina Faso SénégalFAO Direction des Services VétérinairesOUEDRAOGO GueyeBoureima Coumba KEBEBoureima.ouedraogo@fao.org coumba.kebe@elevage.gouv.s n Burkina Faso Sénégal Ministère des Ressources Animales,, Membre du dispositif national de sécurité alimentaire du Ecole Inter-Etats des Sciences et Médecine Vétérinaires de Dakar (EISMV) Dr Bance Musabyemariya Regis Bellancille banceregis@yahoo.fr bellacil@hotmail.com; bellancille.musabyemariya@g mail.com Burkina Faso SénégalMinistère des Ressources Animales,, Membre du dispositif national de sécurité alimentaire du Ecole Inter-Etats des Sciences et Médecine Vétérinaires de Dakar (EISMV)Dr Bance MusabyemariyaRegis Bellancillebanceregis@yahoo.fr bellacil@hotmail.com; bellancille.musabyemariya@g mail.com Sénégal Burkina Faso Agence Espagnole de FAO Kwadjode Komlan Komlan.Kwadjode@fao.org SénégalBurkina Faso Agence Espagnole de FAOKwadjodeKomlanKomlan.Kwadjode@fao.org Mali Sénégal Coopération Internationale Pour le FAO BOLEA BERNÉ Nkwambi LUIS IGNACIO luis.bolea@aecid.es Wilfred wilfred.nkwambi@wfp.org Mali SénégalCoopération Internationale Pour le FAOBOLEA BERNÉ NkwambiLUIS IGNACIO luis.bolea@aecid.es Wilfred wilfred.nkwambi@wfp.org Sénégal Développement (AECID) Agronomes et GRET Bastard GUILLAUME bastard@gret.org SénégalDéveloppement (AECID) Agronomes et GRETBastardGUILLAUMEbastard@gret.org Mali Sénégal Vétérinaires Sans Frontières (AVSF) IFPRI CHAPON Becquey MARC Elodie m.chapon@avsf.org E.Becquey@cgiar.org Mali SénégalVétérinaires Sans Frontières (AVSF) IFPRICHAPON BecqueyMARC Elodiem.chapon@avsf.org E.Becquey@cgiar.org Mali Sénégal CAB DEMESO/VSF SUISSE Ministère de l'Elevage DIABATE Mbargou MOUSSA Lo paflapum@orangemali.net mbargoulo@voila.fr Mali SénégalCAB DEMESO/VSF SUISSE Ministère de l'ElevageDIABATE MbargouMOUSSA Lopaflapum@orangemali.net mbargoulo@voila.fr Mali Sénégal Comité international de la Croix-Rouge Secours Islamique France Dieng SOUMANO Alioune MBAYE KANE mbaye828@gmail.com asoumano@icrc.org Mali SénégalComité international de la Croix-Rouge Secours Islamique France Dieng SOUMANOAlioune MBAYE KANE mbaye828@gmail.com asoumano@icrc.org Mali Sénégal Comité international de la Croix-Rouge Université Gaston Berger de Saint Louis SOUMANO Thiam Alioune Ismael asoumano@icrc.org thiamismael@gmail.com Mali SénégalComité international de la Croix-Rouge Université Gaston Berger de Saint LouisSOUMANO ThiamAlioune Ismaelasoumano@icrc.org thiamismael@gmail.com Mali Tchad Mali Tchad Direction Nationale de la ACTED Santé FAO CARE International Tchad Dr CISSE OULA Dicko BWIKANYE CIHYOKA Ibrahima AUBIN Alhousseini Mass aubin.oula@acted.org drcissekayes@yahoo.fr alhousseyni.dicko@fao.org mass.bwikanye@gmail.com Mali Tchad Mali TchadDirection Nationale de la ACTED Santé FAO CARE International TchadDr CISSE OULA Dicko BWIKANYE CIHYOKAIbrahima AUBIN Alhousseini Massaubin.oula@acted.org drcissekayes@yahoo.fr alhousseyni.dicko@fao.org mass.bwikanye@gmail.com Mali Initiatives Conseils Développement (ICD) MALLE Moussa Batoma suivi-evaluation@icdmali.net MaliInitiatives Conseils Développement (ICD)MALLEMoussa Batomasuivi-evaluation@icdmali.net "},{"text":"Annexe 8: Liste d'indicateurs identifiés pendant les présentations et les discussions de groupe Annexe 9: Annexe 9: DISPONIBILITE DE LA ACCESS A LA CONSOMMATION ENVIRONNMENT PRATIQUES DES SOIN GENRE STATUT NUTRITIONNEL DISPONIBILITE DE LAACCESS A LACONSOMMATIONENVIRONNMENTPRATIQUES DES SOINGENRESTATUT NUTRITIONNEL NOURRITURE NOURRITURE ALIMENTAIRE (Individu) SANITAIRE NOURRITURENOURRITUREALIMENTAIRE (Individu)SANITAIRE  Stock Ménage :  Niveau des prix des  Score de  Taux de vaccinations  Taux de consultation  Charge de travail des  Prévalence de la Stock Ménage : Niveau des prix des Score de Taux de vaccinations Taux de consultation Charge de travail des Prévalence de la quantité d'aliments aliments sur le marché consommation d'animaux prénatale/postnatale femmes : ex. nombre malnutrition aigüe ou quantité d'alimentsaliments sur le marchéconsommationd'animauxprénatale/postnatalefemmes : ex. nombremalnutrition aigüe ou disponibles OU  Autoproduction alimentaire  Prévalence de  Taux d'enfants ayant d'heures dépensées émaciation disponibles OU Autoproductionalimentaire Prévalence de Taux d'enfants ayantd'heures dépenséesémaciation quantité d'aliments  Quantité et type  Score de diversité pathologies animales reçu le colostrum dès la pour abreuver les (MAM+MAS) - quantité d'aliments Quantité et type Score de diversitépathologies animalesreçu le colostrum dès lapour abreuver les(MAM+MAS) - d'origine animale (variété) d'aliment alimentaire et zoonoses naissance animaux/jour poids/taille et oedème d'origine animale(variété) d'alimentalimentaireet zoonosesnaissanceanimaux/jourpoids/taille et oedème disponibles/ménage acheté individuel : des  Normes  Taux d'allaitement  Nombre d'heures  Taux de mortalité disponibles/ménageachetéindividuel : des Normes Taux d'allaitement Nombre d'heures Taux de mortalité /période  Score de consommation enfants de 0 à 23 d'infrastructure exclusif <6 mois ; Taux détenues par sexe au  Prévalence du retard /période Score de consommationenfants de 0 à 23d'infrastructureexclusif <6 mois ; Tauxdétenues par sexe au Prévalence du retard  Niveau de Stocks par alimentaire et Score de mois ; des 24 à 59 (abattage, d'allaitement jusqu'à 2 sein du ménage de croissance - Niveau de Stocks paralimentaire et Score demois ; des 24 à 59(abattage,d'allaitement jusqu'à 2sein du ménagede croissance - produit diversité alimentaire du mois (enfants) ; des transformation, ans  Part du Revenu issu de taille/âge produitdiversité alimentaire dumois (enfants) ; destransformation,ans Part du Revenu issu detaille/âge  Production totale ménage femmes en âge conservation)  Indicateurs ANJE l'élevage géré par la  Insuffisance pondérale Production totaleménagefemmes en âgeconservation) Indicateurs ANJEl'élevage géré par la Insuffisance pondérale  Rendement et  Index de Stratégie de reproductive ; des  Connaissances en (Alimentation du femme -poids/âge Rendement et Index de Stratégie dereproductive ; des Connaissances en(Alimentation dufemme-poids/âge productivité Survie ; Echelle de femmes enceintes hygiène (CAP) : ex % de nourrisson et du jeune  Women Empowerment  Prévalence surpoids et productivitéSurvie ; Echelle defemmes enceinteshygiène (CAP) : ex % denourrisson et du jeune Women Empowerment Prévalence surpoids et  Catégories/types l'accès déterminant  % de femmes/enfants ménage qui pratiquent enfant) : Âge in Agriculture Index obésité Catégories/typesl'accès déterminant % de femmes/enfantsménage qui pratiquentenfant) : Âgein Agriculture Indexobésité d'aliments l'insécurité alimentaire qui consomment les le lavage de mains aux d'introduction  % d'hommes participant  Indice de masse d'alimentsl'insécurité alimentairequi consomment lesle lavage de mains auxd'introduction % d'hommes participant Indice de masse disponibles/ménage/ des ménages ; Indice de produits animaux moments clés d'aliments aux séances de corporelle des femmes disponibles/ménage/des ménages ; Indice deproduits animauxmoments clésd'alimentsaux séances decorporelle des femmes période la faim dans les  Nombre de repas par  Salubrité habitat : ex. complémentaires ; sensibilisation enceinte -poids/taille périodela faim dans les Nombre de repas par Salubrité habitat : ex.complémentaires ;sensibilisationenceinte -poids/taille  Bilans alimentaires ménages ; jour en période de % de ménage Apport alimentaire nutritionnelle  MUAC (périmètre Bilans alimentairesménages ;jour en période de% de ménageApport alimentairenutritionnelle MUAC (périmètre  Autoévaluations de la soudure disposant de latrines ; minimum acceptable  % femmes appartenant brachial, chez les  Autoévaluations de lasouduredisposant de latrines ;minimum acceptable % femmes appartenantbrachial, chez les sécurité alimentaire % de ménage ayant  Taux de fréquentation aux comités de ciblage enfants ou les femmes sécurité alimentaire% de ménage ayant Taux de fréquentationaux comités de ciblageenfants ou les femmes  Niveau de revenu et accès à l'eau potable ; des services de santé et gestion de plaintes enceintes)  Niveau de revenu etaccès à l'eau potable ;des services de santéet gestion de plaintesenceintes) dépenses alimentaires % de ménages préscolaire ; fréquence  Prévalence des dépenses alimentaires% de ménagespréscolaire ; fréquence Prévalence des  Etat des routes/ disposant de station de d'alimentation carences en  Etat des routes/disposant de station ded'alimentationcarences en proximité marchés/ lavage de mains ;  % de personnes qui micronutriment (Fer, proximité marchés/lavage de mains ; % de personnes quimicronutriment (Fer, transport coliformes fécaux de pratiquent le lavage Vit A, Iode) : taux transportcoliformes fécaux depratiquent le lavageVit A, Iode) : taux l'eau potable humaine des mains aux 5 anémie l'eau potable humainedes mains aux 5anémie  Prévalence des moments clés (hémoglobine) ; taux  Prévalence desmoments clés(hémoglobine) ; taux maladies diarrhéiques,  Taux d'utilisation de de prise de fer par les maladies diarrhéiques, Taux d'utilisation dede prise de fer par les paludisme, infections moustiquaires femmes enceinte ; paludisme, infectionsmoustiquairesfemmes enceinte ; respiratoires chez les imprégnés taux d'iode dans respiratoires chez lesimprégnéstaux d'iode dans humains l'urine humainsl'urine "},{"text":"Messages clés du Suivi et Evaluation (S&E) Messages clés sur le processus de la S&E: • Ce que le système de M&E mesure dépend des objectifs du programme • Il y a plusieurs méthodes pour les évaluations d'impacts, qui apportent divers degrés de certitude quant à la contribution réelle du projet à l'impact • L'évaluation du processus est utilisée afin de voir quels éléments d'un programme fonctionnent et lesquels ne fonctionnent pas • Le suivi est un outil de gestion de projet essentiel et devrait être mis en place dans tout type de programme. • Pour l'évaluation d'impacts: faire appel à un expert "},{"text":"Messages clés sur les chemins d'impact : • Intégrer la nutrition et l'élevage  les 2 secteurs se rejoignent dans le cadre du S&E • Il y a plusieurs chemins par lesquels une intervention peut s'attaquer aux causes de la malnutrition.• Le système S&E devrait aider à suivre et évaluer ces chemins tout au long de la mise en oeuvre du projet. • Importance de mesurer les potentiels impacts négatifs / résultats non attendus et les facteurs externes d'une intervention nutritionnelle (« Ne pas nuire à la santé et aux soins », principe d'innocuité) La Nutrition concerne l'individu  S'intéresser à l'individu est l'unique moyen de comprendre la nutrition de la mère et de l'enfant • Les mesures de diversité alimentaire devraient s'accompagner d'une étude CAP • Rendre les indicateurs sensibles à la \"nutrition\". Par ex : \"augmentation de la production\"  \"augmentation de la production d'aliments riches en micronutriments\" • Choix des indicateurs dépend de l'intervention + de ce qui est faisable Messages clés sur les indicateurs : Messages clés sur les indicateurs : "},{"text":"Annexe 10: Coordination Quelles actions sont mises en oeuvre pour améliorer la coordination entre les différents secteurs dont de l'élevage de la nutrition ? Contraintes Opportunités ContraintesOpportunités L'aspect nutritionnel n'est pas pris Absence institutionnelle de concertation Nutrition est une préoccupation des PTF L'aspect nutritionnel n'est pas prisAbsence institutionnelle de concertationNutrition est une préoccupation des PTF systématiquement par le ministère de (multisectorielle et multidisciplinarité) et si cela (partenaires techniques et financiers) et SUN systématiquement par le ministère de(multisectorielle et multidisciplinarité) et si cela(partenaires techniques et financiers) et SUN l'élevage existe, pas fonctionnelle l'élevageexiste, pas fonctionnelle Prévoir un partenariat avec la direction de Refus de la coordination des programmes par les Plateformes pastorales de coordination Prévoir un partenariat avec la direction deRefus de la coordination des programmes par lesPlateformes pastorales de coordination l'élevage et un cadre de collaboration avec la bailleurs multisectorielle l'élevage et un cadre de collaboration avec labailleursmultisectorielle Cellule de Lutte contre la Malnutrition Cellule de Lutte contre la Malnutrition Existence d'un volet collaboratif entre la santé Contraintes financières des pays Existence d'un cadre (comme Codex Existence d'un volet collaboratif entre la santéContraintes financières des paysExistence d'un cadre (comme Codex publique et les services vétérinaires et de Alimentarius) qui pourrait faciliter publique et les services vétérinaires et deAlimentarius) qui pourrait faciliter production animale production animale A travers de micro-projets Communication entre les différents acteurs Existence de programmes de AGIR, G8, PRAPs A travers de micro-projetsCommunication entre les différents acteursExistence de programmes de AGIR, G8, PRAPs (Stratégie Sahel) (Stratégie Sahel) Sécurité alimentaire au plan national et Problèmes de coordination Groupe de travail sécurité alimentaire et Sécurité alimentaire au plan national etProblèmes de coordinationGroupe de travail sécurité alimentaire et régional (agriculture) Leadership Problèmes financières nutrition sur les indicateurs (activité de sécurité alimentaire incluant des interventions d'élevage sensible à la nutrition) régional (agriculture)Leadership Problèmes financièresnutrition sur les indicateurs (activité de sécurité alimentaire incluant des interventions d'élevage sensible à la nutrition) Cluster : sécurité alimentaire, nutrition, Temps et expertise Initiative Cluster : sécurité alimentaire, nutrition,Temps et expertiseInitiative groupes thématiques, inter-cluster Leadership Concept de résilience mène à l'intégration groupes thématiques, inter-clusterLeadershipConcept de résilience mène à l'intégration Manque de contrôle sanitaire sur la chaine de Financement de projets intégrés Manque de contrôle sanitaire sur la chaine deFinancement de projets intégrés production animale et transformation production animale et transformation Conflit inter-agences UN Conflit inter-agences UN Groupe sectoriel sécurité alimentaire ; cluster Priorités différentes Initiatives comme REACH et SUN Groupe sectoriel sécurité alimentaire ; clusterPriorités différentesInitiatives comme REACH et SUN sécurité alimentaire ; groupe régional sécurité alimentaire ; groupe transfert d'argent liquide Communication sécurité alimentaire ; groupe régional sécurité alimentaire ; groupe transfert d'argent liquideCommunication Plan de Soutien Elevage intégré dans le plan Nutrition hors agenda pays/programmes Travail avec la recherche pour fournir des Plan de Soutien Elevage intégré dans le planNutrition hors agenda pays/programmesTravail avec la recherche pour fournir des d'urgence pastoral (incluant volet nutrition) d'élevage et vice versa. Nutrition très peu preuves d'urgence pastoral (incluant volet nutrition)d'élevage et vice versa. Nutrition très peupreuves au niveau de la Primature du Niger tournée vers la production (plaidoyer) au niveau de la Primature du Nigertournée vers la production (plaidoyer) Communication Communication Profil spécialisé/secteur Profil spécialisé/secteur Manque de langue commune pour se Manque de langue commune pour se comprendre et évoluer vers un objectif commun comprendre et évoluer vers un objectif commun Travailler en consortium pour mutualiser les Travailler en consortium pour mutualiser les expertises expertises Espaces d'échange : Partage irrégulier des informations Existence de compétences Espaces d'échange :Partage irrégulier des informationsExistence de compétences -Missions conjointes sécurité alimentaire - Faible mise en oeuvre des recommandations Engagement des bailleurs -Missions conjointes sécurité alimentaire -Faible mise en oeuvre des recommandationsEngagement des bailleurs nutrition (ex. SAP-GTP au Burkina) issues des échanges Diversité d'acteurs nutrition (ex. SAP-GTP au Burkina)issues des échangesDiversité d'acteurs -Conseil national sécurité alimentaire Insuffisance de programmation conjointe Coordination OCHA -Conseil national sécurité alimentaireInsuffisance de programmation conjointeCoordination OCHA -Forum des urgences (Mauritanie) -Echanges inter-clusters (Niger, Mali) -Groupes thématiques nutrition (Mali) Insuffisance de l'approche holistique de la nutrition Manque de synergie entre les intervenants Coût cher Analyse trop qualitative Photographie réelle de la situation de sécurité alimentaire et de nutrition (via les enquêtes régulières Capitalisation des actions de sécurité alimentaire et nutrition -Forum des urgences (Mauritanie) -Echanges inter-clusters (Niger, Mali) -Groupes thématiques nutrition (Mali)Insuffisance de l'approche holistique de la nutrition Manque de synergie entre les intervenants Coût cher Analyse trop qualitativePhotographie réelle de la situation de sécurité alimentaire et de nutrition (via les enquêtes régulières Capitalisation des actions de sécurité alimentaire et nutrition Réunions mensuelles GT Développement L'élevage n'est pas trop considéré dans le Cadre pour échanger sur des indicateurs Réunions mensuelles GT DéveloppementL'élevage n'est pas trop considéré dans leCadre pour échanger sur des indicateurs Rural et sécurité alimentaire groupe communs sur la nutrition Rural et sécurité alimentairegroupecommuns sur la nutrition Groupe thématique élevage qui regroupe Secrétariat à assurer Echanges avec les clusters nutrition et sécurité Groupe thématique élevage qui regroupeSecrétariat à assurerEchanges avec les clusters nutrition et sécurité ONGs et OP au Mali qui travaillent dans l'élevage (urgence) Prise en charge logistique alimentaire Formations pourraient être faites par ONG ou ONGs et OP au Mali qui travaillent dans l'élevage (urgence)Prise en charge logistiquealimentaire Formations pourraient être faites par ONG ou institutions spécialisées dans la nutrition institutions spécialisées dans la nutrition Intégration OP aux clusters Intégration OP aux clusters REACH REACH Cellule de Lutte contre la Malnutrition incluant Cellule de Lutte contre la Malnutrition incluant des représentants du secteur de l'élevage des représentants du secteur de l'élevage (Sénégal) (Sénégal) "},{"text":"Annexe 11: Quels sont les 10 pas que vous pouvez faire pour que l'élevage soit mieux intégré aux efforts de nutrition dans vos pays ? BURKINA FASO Actions à mener (et avec qui ?) Personnes responsables Quand Commentaires (ex. ressources Personnes responsablesQuandCommentaires (ex. ressources nécessaires, contraintes, etc.) nécessaires, contraintes, etc.) 1. Plus de concertations inter-clusters FAO 2015 Contraintes de calendrier 1. Plus de concertations inter-clustersFAO2015Contraintes de calendrier Ressources financières Ressources financières Situation nationale Situation nationale 2. Restitution des conclusions de MRA/FAO Décembre 2014 2. Restitution des conclusions deMRA/FAODécembre 2014 l'atelier aux acteurs étatiques et non- l'atelier aux acteurs étatiques et non- étatiques étatiques 3. Ateliers de formation et de MRA/FAO 2015 3. Ateliers de formation et deMRA/FAO2015 sensibilisation des agents d'encadrement agropastoral ECHO/CRBF sensibilisation des agents d'encadrement agropastoralECHO/CRBF 4. Diffusion des outils et des modules Participants à l'atelier Novembre 2014 4. Diffusion des outils et des modulesParticipants à l'atelierNovembre 2014 de formation de l'atelier de formation de l'atelier MALI MALI "},{"text":"Actions à mener (et avec qui ?) Personnes responsables Quand Commentaires (ex. ressources nécessaires, contraintes, etc.) MAURITANIE REGIONAL MAURITANIE REGIONAL Actions à mener (et avec qui ?) Personnes responsables Quand Commentaires (ex. ressources nécessaires, Actions à mener (et avec qui ?)Personnes responsablesQuandCommentaires (ex. ressources nécessaires, Actions à mener (et avec qui ?) Personnes responsables Quand contraintes, etc.) Commentaires (ex. ressources Actions à mener (et avec qui ?)Personnes responsablesQuandcontraintes, etc.) Commentaires (ex. ressources 1. Restitution de l'atelier au niveau régional et Groupe cash, nutrition, GRET (Guidi), Prochaine réunion de coordination nécessaires, contraintes, etc.) 1. Restitution de l'atelier au niveau régional etGroupe cash, nutrition, GRET (Guidi),Prochaine réunion de coordinationnécessaires, contraintes, etc.) national 1. Soutenir les pays techniquement Oxfam (Gorgol, Brakna) a travers ROSA PAM/BM/FAO/REACH/ Diffusion dès la fin de l'atelier national 1. Soutenir les pays techniquementOxfam (Gorgol, Brakna) a travers ROSA PAM/BM/FAO/REACH/Diffusion dès la fin de l'atelier CRM/cluster group sector Prochaines réunions Soutien technique continu CRM/cluster group sectorProchaines réunions Soutien technique continu 2. Intégrer l'élevage dans les activités Resanut 2. Restitution aux pays/ateliers 3. Lier les interventions d'élevage avec nutrition pays/promouvoir prise en compte de la nutrition dans les programmes GRET CRM Tout de suite Prochaines réunions 2015 Support commun de restitution Plaidoyer pour promouvoir l'approche 'projet nutrition sensible' -agir dans zones d'élevage Plaidoyer pour le financement Christophe -deadline 17 novembre 2. Intégrer l'élevage dans les activités Resanut 2. Restitution aux pays/ateliers 3. Lier les interventions d'élevage avec nutrition pays/promouvoir prise en compte de la nutrition dans les programmesGRET CRMTout de suite Prochaines réunions 2015Support commun de restitution Plaidoyer pour promouvoir l'approche 'projet nutrition sensible' -agir dans zones d'élevage Plaidoyer pour le financement Christophe -deadline 17 novembre dans le cadre PS/CRM 3. Restitution atelier au niveau des FSNWG-NWG -délai cour dans le cadre PS/CRM 3. Restitution atelier au niveau desFSNWG-NWG -délai cour 4. Sensibilisation pour mette en avant les initiatives groupes régionaux CRM/FAO 2015 A planifier 4. Sensibilisation pour mette en avant les initiatives groupes régionauxCRM/FAO2015A planifier qui font les liens entre élevage et nutrition 4. Plaidoyer pour intégration de DUE/GRET Charlotte BM Continu Viser les gros programmes qui font les liens entre élevage et nutrition 4. Plaidoyer pour intégration deDUE/GRET Charlotte BMContinuViser les gros programmes 5. Identifier les organisations dont leurs l'élevage/nutrition (CILSS, AGIR) CRM/FAO Prochain mois Identifier les événements propices à régionaux existants (PRAPS etc.) 5. Identifier les organisations dont leurs l'élevage/nutrition (CILSS, AGIR)CRM/FAOProchain mois Identifier les événements propices àrégionaux existants (PRAPS etc.) interventions pourrait intégrer la nutrition GRET véhiculer le message (ex. Forum interventions pourrait intégrer la nutritionGRETvéhiculer le message (ex. Forum nutrition Tchad) nutrition Tchad) NIGER 5. Restitution interne, plaidoyer Tous Tout le temps NIGER 5. Restitution interne, plaidoyerTousTout le temps Actions à mener (et avec qui ?) 6. ECHOSHAM : analyser possibilité Personnes responsables Mawuli (FAO) Quand Commentaires (ex. ressources nécessaires, Actions à mener (et avec qui ?) 6. ECHOSHAM : analyser possibilitéPersonnes responsables Mawuli (FAO)QuandCommentaires (ex. ressources nécessaires, 1. Plaidoyer au CEC + inter-cluster d'intégrer nutrition 7. African Nutrition Initiative (prise en compte de la nutrition dans les 2. Synergies dans l'analyse de situation et la plans d'investissement agricoles) Amadou Boureima Lawan (PAM) MEL Novembre Continue contraintes, etc.) Présentation PPT Contrainte d'agenda Contribution cluster-lead CSA 1. Plaidoyer au CEC + inter-cluster d'intégrer nutrition 7. African Nutrition Initiative (prise en compte de la nutrition dans les 2. Synergies dans l'analyse de situation et la plans d'investissement agricoles)Amadou Boureima Lawan (PAM) MELNovembre Continuecontraintes, etc.) Présentation PPT Contrainte d'agenda Contribution cluster-lead CSA 1. Restitution de l'atelier aux sous-groupes d'élevage et pêche et Comité Soutien de pilotage pour des actions situation: HEA, cadre harmonise, PRS, Plan de 3. Participation active dans toutes les analyses de FAO-DNS Lawan Tahirou Abdourahamane Mahaman Vincent Charpentier demande planification /identification des réponses 8. Support aux structures à la 29 Novembre 2015 Continue 20 Décembre 2015 -sous-groupe élevage Ex. ateliers de planification Soutiens des structures d'appartenance 1. Restitution de l'atelier aux sous-groupes d'élevage et pêche et Comité Soutien de pilotage pour des actions situation: HEA, cadre harmonise, PRS, Plan de 3. Participation active dans toutes les analyses de FAO-DNS Lawan Tahirou Abdourahamane Mahaman Vincent Charpentier demande planification /identification des réponses 8. Support aux structures à la29 Novembre 2015 Continue 20 Décembre 2015 -sous-groupe élevage Ex. ateliers de planificationSoutiens des structures d'appartenance 2. Renforcement des capacités MDR Amadou Boureima Fin 2015 2. Renforcement des capacitésMDRAmadou BoureimaFin 2015 3. Harmonisation des indicateurs 4. Etre ambassadeur de l'intégration dans les 4. Création d'un réseau élevage et utiliser dans le plaidoyer + partage diffusion nutrition différentes structures 5. Traquer les bonnes pratiques d'intégration et les MDR FAO Tout le groupe des participants du Niger S&E Continue ASAP Continue Contraintes du niveau de responsabilité 3. Harmonisation des indicateurs 4. Etre ambassadeur de l'intégration dans les 4. Création d'un réseau élevage et utiliser dans le plaidoyer + partage diffusion nutrition différentes structures 5. Traquer les bonnes pratiques d'intégration et les MDR FAOTout le groupe des participants du Niger S&EContinue ASAP ContinueContraintes du niveau de responsabilité "},{"text":"Synthèse des évaluations par les participants de l'Atelier « Elevage-Nutrition » Les résultats des 43 fiches d'évaluation remplies par les participants à la fin de l'atelier sont résumés comme suit : "},{"text":"1. Evaluation générale de l'atelier 2. Concernant l'atelier, les participants pensent que… 40% 50% 45% 45% 41% 45% 37% 40% 50% 45%45%41%45%37% 35% 35% 30% 30% 25% 25% 20% 20% 15% 10% 15%10% 5% 10% 0% 0% 0% 3% 5% 10%0%0%0%3% 0% 0% Très mauvaise Mauvaise Bonne Très bonne Excellente Très mauvaiseMauvaiseBonneTrès bonneExcellente "}],"sieverID":"6c1874f7-f230-4346-9dd9-e726c757ad2a","abstract":""} \ No newline at end of file